vendredi, 27 février 2009
A bon entendeur...
Pour la cour de cassation, une adresse IP n'est pas une donnée personnelle voir ici
La cour de cassation a estimé que la Sacem n'avait pas besoin de demander à la Cnil d'autorisation avant de relever les adresses IP d'internautes qui téléchargent du contenu illégal, car il ne s'agit pas pour elle de données personnelles. Mais il faut que ce relevé soit effectué à la main. Cet arrêt fait suite à une affaire judiciaire qui oppose la Sacem à un particulier est accusé d'avoir téléchargé et proposé du contenu illégal. Cet homme avait été repéré grâce à son adresse IP, dûment collectée par la Sacem sans que celle-ci n'avertisse la Cnil de cette action, comme le demande l'article 25 de la loi informatique et libertés. La cour de cassation a confirmé qu'il était légal de collecter une adresse IP et de ne pas communiquer cela à la Cnil a condition que cette action soit effectuée à la main.
Sans commentaire...
14:11 Publié dans Mon placard | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 26 février 2009
Les 10 expressions utilisées par les femmes
1) BIEN: le mot utilisé par les femmes pour clore une discussion quand elles ont raison et que tu dois te taire.
2) 5 MINUTES: si elle est en train de s'habiller, signifie une demi-heure. 5 minutes, et seulement 5 si elle t'a donné 5 minutes pour regarder le match ou jouer à la Playstation avant de sortir ou de faire n'importe quoi d'autre ensemble.
3) RIEN: le calme avant la tempête. Ça veut dire quelque chose…et tu devrais rester attentif. Les discussions qui commencent par rien finissent normalement par BIEN (voir le point 1).
4) VAS-Y FAIS-LE: c'est un défi, pas une permission. Ne pas le faire.
5) SOUPIR: c'est comme un mot, une affirmation non verbale souvent mal interprétée par les hommes. Un grand soupir signifie qu'elle pense que tu es un idiot et se demande pourquoi elle perd son temps avec toi à discuter de RIEN (cf retour au point 3).
6) OK: un des plus dangereux mot qu'une femme puisse dire à un homme. Ça veut dire qu'elle a besoin d'y réfléchir avant de décider quand et comment te le faire payer.
7) MERCI: une femme te remercie ; ne pas poser de questions ou ne pas s'évanouir, elle veut seulement te remercier (à moins qu'elle ne dise "merci beaucoup" qui la plupart du temps peut être du sarcasme pur)
8) COMME TU VEUX : la manière pour une femme de dire vas te faire voir
9) NE TEN'OCCUPE PAS : JE LE FAIS: une autre affirmation dangereuse; ça signifie qu'une femme a demandé à un homme de faire quelque chose plusieurs fois mais maintenant elle est en train de la faire. Ça amènera l'homme à demander « qu'est-ce qui ne va pas ? »
Pour la réponse de la femme, voir le point 3.
10) C'EST QUI?: ce n'est qu'une simple demande...souviens-toi quand même que chaque fois qu'une femme te demande "qui c'est", en réalité elle voudrait te demander: "c'est qui cette pétasse, et comment tu la connais?????"
08:38 Publié dans Mon placard | Lien permanent | Commentaires (2)
mercredi, 25 février 2009
Taf
Voilà un an que j'ai changé de poste au boulot. J'ai beau être dans la même boite, à quelques centaines de mètres de mon ancien service ; ici tout est différent. On en est encore à l'époque où l'on est écouté, où l'on peut parler au N+1, voire N+2, le big boss. Les chefs bossent porte ouverte et on peut dire ce que l'on pense tout haut, sans craindre les représailles en fin d'année (sur les avancements, période toujours délicate...)
Quoiqu'il en soit, une réorganisation est en cours. Je vais avoir au moins 80 déménagements informatiques dans les semaines à venir. A gérer toute seule. Hmmm je sens que ça va être coton. Il va aussi y avoir le mien, avec tous mes cartons de câbles, pièces, accessoires et autres joyeusetés à me trimballer. Hum. Nous verrons bien le jour venu.
Pour l'instant : nouveau chef, nouvelle structure, nouveaux collègues et ce matin, première prise de contact "hiérarchique" avec cet ancien collègue qui devient mon boss direct. Cela ne change rien dans les rapports humains. C'est ce que j'apprécie ici. Les gens restent les mêmes, caquette de chef ou pas. Les gens n'ont pas "le melon" et c'est plutôt agréable à vivre.
Ce matin, j'ai mis une jupe. J'avais totalement zappé cet entretien...
Le premier qui dit que j'ai sorti la jupe pour le chef, je lui coupe sa connexion réseau ! nan mé ho :)
09:02 Publié dans Réflexions | Lien permanent | Commentaires (7)
lundi, 23 février 2009
Mon oeil !
Les paroles sont toujours plus audacieuses que les actes.
[Johann Friedrich von Schiller]
C'est drôle, parfois, ce qu'on peut lire dans un regard. Drôle comme parfois l'on veut croire y découvrir des trésors qui n'existent en fait pas...
Juste un regard.
Puis viennent les paroles, puis viennent les écrits... Et là c'est presque pire encore... Le puits de la déception se creuse de seconde en seconde. Les mots sont alors devenus inutiles, vains. On ne parle déjà plus la même langue...
C'est troublant, tout de même, ces similitudes dans les réactions des ex- !
Des mots identiques, des sentiments identiques, de fausses-impressions identiques, des réactions identiques. Non pas dans les reproches mais dans l'analyse de la situation du "je t'aime mais je te quitte-sans-te-quitter..." en boucle, à l'infini...
Oui, étrange lorsqu'on a affaire à des personnes très différentes par ailleurs !
Ceci me laisse perplexe !
22:08 Publié dans Réflexions | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 21 février 2009
Oxygène
Le bonheur est une petite chose que l'on grignote, assis par terre, au soleil.
[Jean Giraudoux]
La mer.
L'horizon.
Le vent.
Les rires des enfants.
Les moments partagés.
La musique.
ses émotions.
Le silence.
Le calme et le repos.
Tout ce qu'il faut pour retrouver la paix de l'âme...
[Dans les oreilles : AIR + Mike Mills]
[Humeur : Détendue]
18:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 12 février 2009
Vous avez dit original ?
La vraie fête, c'est faire ce dont on a envie, indépendamment de ce que font les autres, sans tenir compte du calendrier, en se moquant des usages et en faisant fi du qu'en-dira-t-on. Rare et difficile.
[Philippe Bouvard]
Oui, difficile de dépasser les codes sociaux bien établis. Difficile de revendiquer sa différence, parfois. Difficile de faire admettre que l'on n'est pas fan de la St Valentin, le jour obligé où tout amoureux qui se respecte se doit de fêter dignement ce satané truc obligatoire, sinon...
Difficile de ne pas aimer les sempiternels "bonne année" de début janvier (voire jusqu'au 31 !), que tout le monde répète inlassablement, bise à l'appui parce que ce jour-là, on peut ! Combien le disent par pure habitude, par pure politesse, sans en penser un mot ? Mais il faut le dire, sinon...
Difficile de ne pas aimer la période des Fêtes et Noël en particulier. Obligé d'acheter des cadeaux, n'importe lesquels, pourvu qu'il y ait un maximum d'argent dépensé, de bouffe, jusqu'à s'en faire sauter la sous-ventrière. Je l'ai déjà écrit (désolée pour ceux qui l'ont déjà lu mais...) Je n'aime pas Noël, je ne le fête que pour mes enfants qui sont encore à l'âge où sapin, crèche et lumières qui brillent sont une réelle source de joie, où les cadeaux sous le sapin sont encore un bonheur naturel. Pour le reste, ce n'est que pure obligation, mais il faut le fêter, le plus dans les règles possibles, suivant les codes établis et obligatoires, sinon...
Difficile de ne pas aimer son anniversaire. Personnellement, je ne le fête plus depuis mes 19 ans, et je m'en passe très bien. Mais il est très difficile de priver autrui du plaisir qu'il se fait en offrant des cadeaux, alors que le simple fait d'y penser et de le dire suffit. Difficile de jouer la comédie d'un jour où l'on se doit d'être le héro, car suivant les codes sociaux, il est obligé d'être le centre d'intérêt et obligé de se soumettre à des rituels tout aussi ridicules qu'obsolètes, à mon sens ; mais il faut se plier, sinon...
Difficile de ne pas rentrer dans le moule de l'attitude politiquement correcte que tout adulte se doit de suivre, sinon...
Sinon on se heurte à l'incompréhension totale. Il faut expliquer, argumenter, négocier, revendiquer ce simple droit à la liberté. Revendiquer ce droit de voir, ressentir, vivre les choses à sa propre façon sans s'obliger perpétuellement à faire comme tout le monde parce qu'il le faut. Nous avons déjà tant et tant d'actes contraints, obligés, forcés dans la vie ; pourquoi accepter de s'en rajouter ??
Je revendique ce droit de ne pas m'en rajouter. Et si je me heurte à l'incompréhension, ce n'est pas grave. Certains comprennent, d'autres pas. Question de personnalité, d'histoire personnelle et d'obéissance à l'ordre établi, de culture et d'éducation que je ne juge pas.
Mais, à défaut de me comprendre, j'attends juste que l'on me respecte dans cette différence. Même cela n'est pas facile...
Il y a tant d'autres moyens de faire plaisir, d'idées à trouver, de choses à inventer, de surprises à faire, d'inattendu à créer, de jours dans l'année pour prouver son attachement ou démontrer ses sentiments ! Se contenter de respecter des dates notées dans un calendrier, c'est tellement banal !
21:27 Publié dans Réflexions | Lien permanent | Commentaires (7)
mercredi, 11 février 2009
Miamm !
Envie de crêpes
Et vous savez quoi ? ben j'vais m'en faire !
C'est ça aussi, le célibat : faire ce qu'on veut, comme on veut, quelle que soit l'heure et dès que l'envie nous prend !
Déjà fêté la chandeleur, et alors ??
19:53 Publié dans Réflexions | Lien permanent | Commentaires (2)
REX (*)
La liberté ne peut consister qu'à pouvoir faire ce que l'on doit vouloir et à n'être point contraint de faire ce que l'on ne doit pas vouloir.
[Montesquieu]
A presque 1 mois de la rupture, il est temps de se "pauser". De regarder les choses avec recul, loin du choc initial et de ses conséquences, dans la sérénité.De faire le bilan de toute cette histoire.
La première évidence est que la liberté retrouvée est toujours aussi savoureuse et que rien, vraiment rien ne vaut cela. Force est de constater qu'à chaque fois que je reviens "aux origines", je me retrouve. Comme une cohésion, une harmonie qui, sans que je m'en rende compte m'a manquée. Une impression d'un puzzle qui se remet en place. Du "moi" retrouvé.
Inévitablement je me demande pourquoi et comment j'en suis arrivée là. Je remonte dans l'histoire, dans ses débuts. Dans celle que j'étais avant. Je retrouve des notes qui me remémorent soudain combien je me suis écartée de ma route l'air de rien... Où est passé le fameux idéal du "chacun chez soi" que je cherchais tant ? Ce choix de vie auquel je tiens et qui reste un idéal. Où est passée la personne que je suis profondément et les rêves que j'avais ? Comment ai-je pu tourner ainsi les talons à ce qui me tenait tant à coeur, ce pourquoi j'ai divorcé, ce qui est à mon sens la seule vraie voie du bonheur, à savoir la liberté ?
Où est-elle passée ? Comment ai-je pu aussi facilement me détourner de mes aspirations profondes ? Plus j'y réfléchis et plus je constate qu'il n'a suffit que de simples discours, pas mal de promesses, beaucoup de mots et des cadeaux hors de proportion pour que je me laisse embarquer. Beaucoup de poudre aux yeux, beaucoup trop de mots sur lesquels la réalité venait se fracasser et, qu'aveuglée que j'ai acceptée d'être, je me refusais à affronter. Les mots ne concordaient pas avec ce que je vivais. Il m'en aura fallu du temps pour l'admettre !
Tant de signaux se sont allumés depuis un an, tant de warnings que j'accepte maintenant (enfin) de regarder en face. Tant de choses qui auraient dû me stopper net et que j'ai refusé de regarder en face. Tout ce qui n'est pas moi, à commencer par cette base-même du chacun chez soi. Plus j'avance et plus je sais que c'est uniquement par cette liberté-là que je conçois mon avenir et mon bonheur. Or, je me suis laissée glisser vers une pente qu'inconsciemment je savais nocive (et que j'ai d'ailleurs freinée en route puisque j'ai tout de même gardé mon appartement malgré les pressions extérieures).
Heureusement que je me connais suffisamment pour savoir suivre malgré tout mon instinct qui est de ne jamais prendre une décision de cet ordre sans en avoir véritablement le désir total. Et je n'avais justement pas ce désir total. Je ne voulais pas regarder de trop près ces fils qui me retenaient, je ne me sentais juste "pas prête" en pensant que je le serais plus tard, sans véritablement analyser de trop près les raisons à cette retenue. J'ignorais quand je serais prête ; je pensais fermement l'être "un jour" tout en ignorant totalement le temps que cela prendrait. Véritable écartèlement que celui-là. Entre faire plaisir à l'autre, aux enfants et à soi... Faire plaisir pour quoi ? à qui ? Le bonheur des autres ne passe-t-il pas avant tout par son propre épanouissement personnel ?
Je sentais que tout aussi attirant que laissait présager le paysage devant moi, celui que je m'apprêtais à quitter m'était encore plus cher. Il y a des décisions que l'on sent mauvaises pour soi sans vraiment parvenir à les expliquer. Et là, je sentais inconsciemment que je courais à ma perte, c'est ce qui m'a stoppée dans l'élan. Grâce au Ciel, j'ai écouté mon intuition. Je sentais que je courais vers la perte de ma liberté. J'avais déjà commencé à la perdre, en me fourvoyant sur des chemins qui ne sont pas les miens. En me voilant la face.
Finalement je ne regrette rien de cette rupture. C'était la meilleure décision à prendre. J'ai accepté trop de choses qui étaient fondamentalement anormales et même si j'admets que l'amour m'a aveuglée, on ne peut pas être aveuglé éternellement. Tout a une raison d'être. Cette décision, c'est une bonne chose car ce n'était pas la bonne personne, et je le sentais au fond de moi. Maintenant que je l'ai accepté, je me sens beaucoup plus sereine et en paix qu'avant.
C'est le meilleur signe qui soit : la sérénité. Il faut toujours écouter sa petite voix intérieure.
A chaque chose, malheur est bon, comme on le dit communément...
Il faut toujours fonder son jugement sur les actes et non sur les paroles.
Cette expérience m'aura appris cette leçon de vie que je retiendrai pour le reste de ma vie.
(*) Retour d'EXpérience pour les non-inités s'il en est...
09:42 Publié dans Réflexions | Lien permanent | Commentaires (4)
mardi, 10 février 2009
Lily Allen : Never Gonna Happen
Toujours la même Lily Allen
Son album (It's not me, It's you) est en boucle.
Trop de bonnes chansons...
I don't wanna hurt you
'cause I don't think it's a virtue,
but you and I have come to our end.
Believe me when I tell you that I never want to see you again.
And please can you stop calling
'cause it's getting really boring
and I've told you I don't want to be friends.
Believe me when I tell you that I never want to see you again.
How on earth could I be anymore obvious?
It never really did and now it's never gonna happen with the two of us.
I don't understand what it is that you're chasing after,
but it makes me really sad to hear you sound so desperate.
It just makes it harder.
I can see how it's confusing
It could be considered using when I call you up
Straight out of the blue
But I don't understand what else a girl in my positions' to do
Now I know you feel betrayed
but it's been a week since I got laid.
This doesn't mean that I don't think you're a fool
But I don't understand what else a girl in my positions' to do.
How on earth could I be anymore obvious?
It never really did and now it's never gonna happen with the two of us.
I don't understand what it is that you're chasing after,
but it makes me really sad to hear you sound so desperate.
It just makes it harder.
I know it's rather ugly
'cause I know that you still love me
and this isn't any kind of excuse
but I don't love you
I don't love you.
How on earth could I be anymore obvious?
It never really did and now it's never gonna happen with the two of us.
I don't understand what it is that you're chasing after,
but it makes me really sad to hear you sound so desperate.
It just makes it harder.
12:10 Publié dans Muzzik | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 09 février 2009
Lily ALLEN - Fuck You (Very Much)
Second album (enfin !)
Toujours aussi pêchue, dans la même lignée que le 1er
- Ca redonne la patate -
Look inside,
Look inside your tiny mind
Now look a bit harder
Cause we're so uninspired,
So sick and tired,
Of all the hatred you harbour
So you say,
It's not okay to be gay
Well I think you're just evil
Your just some racist,
Who can't tie my laces
Your point of view is medieval
Fuck you,
Fuck you very very much
Cause we hate what you do,
And we hate your whole crew
So please don't stay in touch
Fuck you,
Fuck you very very much
Cause your words dont translate,
And its getting quite late
So please don't stay in touch
Do you get,
Do you get a little kick
Out of being slow minded?
You want to be like your father,
It's approval you're after
Well that's not how you find it
Do you,
Do you really enjoy
living a life that's so hateful?
Cause theres a hole where your soul should be
And you're losing control of it
And it's really distasteful
Fuck you,
Fuck you very very much
Cause we hate what you do,
And we hate your whole crew
So please don't stay in touch
Fuck you,
Fuck you very very much
Cause your words don't translate,
And it's getting quite late
So please don't stay in touch
Look inside,
Look inside your tiny mind
Now look a bit harder
Cause we're so uninspired
So sick and tired
Of all the hatred you harbour
Fuck you,
Fuck you very very much
Cause we hate what you do,
And we hate your whole crew
So please don't stay in touch
Fuck you,
Fuck you very very much
Cause your words don't translate,
And its getting quite late
So please don't stay in touch
11:50 Publié dans Muzzik | Lien permanent | Commentaires (0)
Pink - So What ?
J'adore cette nana. Elle a du chien.
Son dernier album est vraiment super !
So...
So WHAT ?
Na Na Na Na Na Na Na
I wanna start a fight
So so what?
I'm still a rock star
I got my rock moves
And i don't need you
And guess what
I'm having more fun
And now that we're done
I'm gonna show you tonight
I'm alright, I'm just fine
And you're a tool
So so what?
I am a rockstar
I got my rock moves
And i don't want you tonight
Uh, check my flow, uh
The waiter just checked my table
And gave to Jessica Simp- Shit!
I guess i'll go sit with Tom boy
At least he'll know how to hit
What if this song's on the radio
Then somebody's gonna die
I'm gonna get in trouble
My ex will start a fight
Na Na Na Na Na Na Na
He's gonna start a fight
Na Na Na Na Na Na Na
We're all gonna get in a fight!
So so what?
I'm still a rock star
I got my rock moves
And i don't need you
And guess what
I'm having more fun
And now that we're done
I'm gonna show you tonight
I'm alright, I'm just fine
And you're a tool
So so what?
I am a rock star
I got my rock moves
And i don't want you tonight
You weren't fair
You never were
You weren't all
But thats not fair
I gave you life
I gave my all
You weren't there
You let me fall
So so what?
I'm still a rock star
I got my rock moves
And i don't need you
And guess what
I'm having more fun
And now that we're done {we're done}
I'm gonna show you tonight
I'm alright {I'm alright},I'm just fine {I'm just fine}
And you're a tool
So so what?
I am a rock star
I got my rock moves
And i don't want you tonight
No No, No No
I Don't want you tonight
You weren't fair
I'm gonna show you tonight
I'm alright, I'm just fine
And you're a tool
So so what?
I am a rock star
I got my rock moves
And i don't want you tonight
So true.
It helps feeling better !
09:40 Publié dans Muzzik | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 07 février 2009
Dido - The Day Before The Day
Still...
Speeches won't be made today, clocks will carry on
Flowers won't be left in parks, work will still be done
People won't be dressed in black, babies will be born
No flags will fly, the sun will rise,
But we will know that you are gone
You who love to love and believed we can never give enough
It wakes me every single night, thinking through the day
Did you stop at any time, have doubts at any stage
And were you calm or were you numb? or happy just to get it done?
I've lived my life without regret until today
And you who love to love and believed we can never give enough
I didn't get to say goodbye the day before the day
Was trying to get to work on time, that's why I turned away
And missed the most important thing you ever tried to say
I've lived my life without regret until today
And you who love to love and believed we can never give enough
And you who hoped that underneath we all felt the same
That was until the day before the day
The day before the day
The day before the day
Ohh, the day before the day
The day before the day
Ohh, the day before the day
Ohh, the day before the day
Ohh, the day before the day
16:06 Publié dans Muzzik | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique
De l'Education
L'éducation nous apprend les règles de la vie. L'expérience nous apprend les exceptions.
[Mina Guillois]
Eduquer un enfant, un adolescent, oui. Dans une fermeté à la fois douce et patiente.
Mais éduquer la personne que l'on prétend aimer, c'est vouloir forger l'autre à l'image que l'on souhaite, que l'on projette, que l'on attend, égoïstement.
C'est vouloir faire plier l'autre comme de l'acier, en lui imposant sa propre volonté.
C'est renier l'autre dans tout ce qu'il est de différent de soi, sans aucun respect.
Affirmer, en supplément, agir de la sorte "pour le bien de l'autre" est encore pire.
Parce que l'Amour est exactement l'inverse de tout cela.
L'Amour ne s'éduque pas.
Il se vit dans l'acceptation de l'autre tel qu'il est...
... sinon ce n'est pas de l'Amour.
L'amour ne peut pas rimer avec leçon d'éducation
D'un Maître à son Elève.
[Dans les oreilles : Lily Allen - Fuck You]
[Humeur - Paisible]
00:30 Publié dans Réflexions | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 05 février 2009
Past is past
Il faudrait rendre au passé sa véritable vocation, c'est-à-dire d'être oublié, et il cessera tout de suite d'exercer une quelconque influence nocive sur notre vie présente.
[Dominique Glocheux]
Une citation à mettre au format de poster et à garder sous les yeux en permanence : Toujours regarder devant, et ne jamais s'apesantir sur le passé. Il en faut du courage pour y parvenir, mais rien est impossible quand on le décide. Tout est question de volonté.
Le passé n'a rien de bon. Il ne sert à rien d'y perdre son temps. Il ne faut garder de lui que les choses positives qui ont permis de mieux se connaître ou de s'améliorer, ce qui a permis d'aider les autres et ce qui a fait avancer. Tout le reste est inutile. C'est une perte de temps sèche que de regarder en arrière et de se lamenter.
Il faut en toute chose décider d'avancer et se donner les moyens de le faire. Quitte à lutter parfois contre soi-même et à se faire violence.
Vouloir c'est pouvoir.
[En écoute : SINSEMILIA - (Sinsé pour les intimes)
Humeur : le soleil traverse les nuages... momentanément !]
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mercredi, 04 février 2009
Absurdité(s)
La vie est pleine d'absurdités qui peuvent avoir l'effronterie de ne pas paraître vraisemblables. Et savez-vous pourquoi ? Parce que ces absurdités sont vraies.
[Luigi Pirandello]
Comment expliquer cette rupture aux enfants qui posent la question du "pourquoi ?", lorsque, soi-même on ne connaît pas la réponse ?...
Comment expliquer l'absurdité de la nature humaine, comment expliquer que l'on n'a rien vu venir, rien capté, tout subi et rien à ajouter ?
J'ai beau tourner le problème dans tous les sens, comme on s'attaque à un rubik's cube : tenter toutes les couleurs, toutes les combinaisons, il reste toujours la fin, les deux dernier petits cubes qui s'obstinent à ne pas vouloir trouver leur place. Comme s'il me fallait admettre une fois pour toutes que je n'aurai jamais de réponses à certaines questions, ni le pouvoir de comprendre certaines choses qui m'échappent.
Il faut accepter avec humilité que l'on ne comprend parfois pas tout. Que l'on a beau penser connaître l'autre, en fait il n'en est rien. On croit connaître les gens mais les connaît-on jamais vraiment ?
Il est de ces questions qui n'ont pas de réponse autrement qu'en forme de point d'interrogation.
Tout semble évident, naturel, limpide... jusqu'au jour où tout explose en plein vol sans que l'on ne trouve LA vraie raison. Celle qui est à l'origine. On est alors uniquement dans les suppositions logiques de raisonnements logiques, or rien n'est plus logique nulle-part.
Il n'y a plus aucun repère fiable, aucune base stable sur laquelle raisonner, car l'autre, celui qui, hier encore, était celui que l'on croyait avec raison (alors) être le seul véritable amour de sa vie, l'unique, l'exceptionnel ; cet autre, sans qu'on le sache, s'est mué, sans que l'on s'en aperçoive, en un parfait étranger...
21:37 Publié dans Réflexions | Lien permanent | Commentaires (0)