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vendredi, 27 avril 2007

T.G.I.F (*)

Un SMS, tôt le matin. Une proposition de ciné... pourquoi pas ?

J'imagine le voir en ami, là, comme ça. Cela me fait bizarre. J'ai du mal à imaginer justement.

En même temps l'idée même de le revoir me réjouit. Alors "live & let die". Je dis oui, ok pour dans une semaine.

Plus tard je réalise que je serai loin de Paname alors je l'appelle. Je laisse un message d'excuses "si tu peux attendre que je revienne... sinon tant pis, merci de ta proposition..."

Il me rappelle. Me donne de ses nouvelles. M'annonce la grossesse de son ex et ce cap qu'il appréhendait et qu'il affronte, seul. Cette douleur s'ajoute à celle déjà présente de ce lui et moi qui a explosé en vol. J'écoute. Je ne dis rien. J'entends juste sa difficulté à vivre sans moi.

J'ai sur les lèvres un "j'ai failli t'appeler 10 fois" mais je ne le dis pas.

Pas envie de retourner en arrière. Ni de recommencer infiniment les mêmes erreurs.
Mais pas envie non plus de me jeter dans les bras du premier venu pour échapper aux pensées qui m'orientent vers lui.

Alors je tiens le cap.
Et ce ciné qui me rendait guillerette, je finis par le redouter.

Je pense que je serai capable d'être son amie, et rien de plus.
Mais lui...

?

 

(*) Thanks God It's Friday !
(Merci mon dieu c'est vendredi !)

dimanche, 22 avril 2007

.Point.

Certains jours, je me dis que vraiment, c'est bien d'être seule ; de ne plus avoir tous ces tracas, toutes ces tensions dûes à l'autre, ou du moins à cette relation à l'autre. Que c'est bon la liberté, que c'est bon de ne plus attendre, indéfiniment...  Rien ne me manque, finalement.

Rien...
Excepté lui.

C'est humain, ca passera... mais au fond de moi il y a sans cesse cette certitude que jamais je ne trouverai quelqu'un comme lui, et de loin. Je le sais comme je le savais lorsque j'ai décidé de rompre avec lui. J'en suis consciente. C'est une réalité et je dois vivre avec.

Tous les autres me semblent si fades, si inconsistants, si moches, si nuls. Je n'ai même pas envie d'être avec un autre. Je préfère encore la solitude.

Je cherche mieux sans le chercher tout en sachant que je ne le trouverai pas...

Paradoxes... toujours

vendredi, 20 avril 2007

Fly !

Google Earth inspire un développeur de jeux ! Ce célèbre logiciel a été employé pour mettre en scène un petit avion. Avec ce petit avion on peut voyager grâce aux touches du clavier : monter, descendre, tourner à droite et à gauche, ( avec les flèches directionnelles ) accélerer, ( avec A ) ralentir ( avec Z ) et tirez ( avec la barre d'espace ).Ce petit avion peut visiter de nombreux lieus : Londres, Dublin, New York, Washington, Los Angeles, Philadelphile, Boston, Zurich, Amsterdam, Berlin, Madrid, Paris, Helsinki, Sidney, Hong Kong, Tokyo, Mars et la Lune.

Cette création originale se nomme Goggles Maps Flight Sim (http://195.90.120.51/games/goggles.html). Amusez vous !!

 

Source : http://www.net-actuality.org/news/4042-jouer-avec-google-...

lundi, 16 avril 2007

Je rêve !

Quand on envoie un mail pour dire qu'on change de nom... c'est super cool d'éviter de répondre par un nonchalant "veuillez envoyer un extrait d'acte de mariage" ou "toutes mes félicitations"...

BANDE DE MOULES

Reprendre son nom de jeune fille après un divorce c'est dans les choses possibles aussi, nan ?? A minimà quand on ne sait pas on s'abstient !

Pff j'vous jure ! à croire qu'y en a qui ne sont même pas equipés du neurone de base certaines fois !

jeudi, 12 avril 2007

Retour

Retour du printemps, vous l'avez noté ?

Retour au boulot, sur mes deux jambes, à petits pas mais là ! tout de même !

Retour de l'envie de sortir, de bouger, de se promener main dans la main dans Paris, d'aller goûter aux bateaux-mouche, prendre une glace chez Berthillon... Bref l'envie d'être à deux

Retour de mes pensées vers M., qui me manque, dont je compte les heures passées à penser à lui. Finalement, envie d'entendre sa voix, savoir comment il va... Et l'appeler...

Retour de la boîte vocale attendue puis un son, une voix, lui qui a décroché. Se dire que tant de fois je l'ai appelé, comme ça, mais c'était différent... Retour de son sourire, que je vois presque se dessiner sur ses lèvres. L'écouter dire "je suis tellement désolé, c'est tellement de ma faute !" et rétorquer que "non, on est deux, on est tous les deux responsables,  et on a tout tenté, hein ? on a tout tenté !"

Retrouver l'homme que j'ai aimé, et me répéter que c'est fini, que c'est différent. Juste constater, là, son bonheur à m'entendre, et le mien aussi. Tout est fini, on le sait bien, mais c'est tellement bon de pouvoir garder ce lien ! Il connaîtra et aimera d'autres femmes, je l'ai souhaité ainsi. Même si le boulot "tête baissée 12h par jour, pour ne pas penser" semble plus prioritaire pour le moment, cela arrivera et je compte être heureuse pour lui. Il le mérite.

Retour finalement des vagues qui vont et viennent, des "je veux" et "je ne veux pas !", toujours, encore ces paradoxes !

mardi, 10 avril 2007

Musique encore...

Au hasard du web, je découvre que l’ex membre de Genesis, Peter Gabriel, vient de lancer un site de diffusion de MP3 avec la collaboration d’un entrepreneur, Steve Purdham et d'un financier, John Taysom. We7 permet à n’importe quel artiste de diffuser des titres et d'en récolter les royalties grâce à des messages publicitaires diffusés avant téléchargement et dont les revenus sont partagés.

Chaque piste contient en pratique environ 10 secondes de publicités, des messages individualisés en fonction de l’âge, de la localisation, du genre de l’internaute. Impossible donc d’y échapper avant de profiter du titre. Herbie Hancock, Bananarama, Dave Matthews ou Coolio sont quelques-uns des premiers artistes diffusés sur cette plateforme.

Difficile de dire si l’écoute d’une trentaine de morceaux entrecoupés par 10 secondes de pub à chaque fois satisfera une demande, mais l’initiative mérite néanmoins l’attention. On peut d'ores et déjà télécharger des titres, tous diffusant des pubs en faveur de ce site. [...] Malheureusement, aucun titre de Peter Gabriel n'est disponible sur le site...[From PCINPACT.com]

 

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Je n'ai pas encore testé, mais je vais le faire. Depuis le temps que l'on parle de cette alternative, il est temps de voir ce que cela donne en réel...

lundi, 09 avril 2007

Kings of Leon - Because of times (2007)

 

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En voilà une belle surprise !! Peut-être ave-vous entendu "call me" à la radio ? (bon peut-être pas sur France Inter - je n'ai rien contre eux, ceci dit !). Bref, quoiqu'il en soit, ce groupe sort son 2ème album et je vous le recommande chaudement. C'est plein de sensualité (on sent le chant choral derrière), c'est enlevé, inventif et truffé de petites mélodies qui ont tendance à s'ancrer dans la tête, façon Mika (mais absolument pas dans le même style !). Bref, à écouter sans se lasser

 

 

20:35 Publié dans Muzzik | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : musique

samedi, 07 avril 2007

Les vieux - J. Brel

Les vieux ne parlent plus ou alors seulement parfois du bout des yeux
Même riches ils sont pauvres, ils n'ont plus d'illusions et n'ont qu'un cœur pour deux
Chez eux ça sent le thym, le propre, la lavande et le verbe d'antan
Que l'on vive à Paris on vit tous en province quand on vit trop longtemps
Est-ce d'avoir trop ri que leur voix se lézarde quand ils parlent d'hier
Et d'avoir trop pleuré que des larmes encore leur perlent aux paupières
Et s'ils tremblent un peu est-ce de voir vieillir la pendule d'argent
Qui ronronne au salon, qui dit oui qui dit non, qui dit : je vous attends

Les vieux ne rêvent plus, leurs livres s'ensommeillent, leurs pianos sont fermés
Le petit chat est mort, le muscat du dimanche ne les fait plus chanter
Les vieux ne bougent plus leurs gestes ont trop de rides leur monde est trop petit
Du lit à la fenêtre, puis du lit au fauteuil et puis du lit au lit
Et s'ils sortent encore bras dessus bras dessous tout habillés de raide
C'est pour suivre au soleil l'enterrement d'un plus vieux, l'enterrement d'une plus laide
Et le temps d'un sanglot, oublier toute une heure la pendule d'argent
Qui ronronne au salon, qui dit oui qui dit non, et puis qui les attend

Les vieux ne meurent pas, ils s'endorment un jour et dorment trop longtemps
Ils se tiennent par la main, ils ont peur de se perdre et se perdent pourtant
Et l'autre reste là, le meilleur ou le pire, le doux ou le sévère
Cela n'importe pas, celui des deux qui reste se retrouve en enfer
Vous le verrez peut-être, vous la verrez parfois en pluie et en chagrin
Traverser le présent en s'excusant déjà de n'être pas plus loin
Et fuir devant vous une dernière fois la pendule d'argent
Qui ronronne au salon, qui dit oui qui dit non, qui leur dit : je t'attends
Qui ronronne au salon, qui dit oui qui dit non et puis qui nous attend.

18:30 Publié dans Muzzik | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : blog, journal intime, musique

mardi, 03 avril 2007

24h en overdose

La morphine apaise quelque peu mes douleurs et me permet de goûter de nouveau à la vie... Bien que restant encore allongée une grande partie de mes journées, j'ai tout de même la force suffisante pour emmener et rechercher les enfants à l'école sans être pliée en deux et marcher comme un escargot (dixit les enfants).

Le reste du temps, je le passe devant ma télé à regarder 24H (chrono). Série que je n'avais jusque-là jamais regardée mais dont j'avais beaucoup entendu parler... Et c'est devenu une addiction. J'ai enchaîné les deux premières saisons sans même m'en rendre compte et c'est une chance de pouvoir regarder tous les épisodes sans avoir à attendre une semaine entre chaque.

Bon, certes, c'est très "god bless america" et "USA saved the world" (...once more). Mais Kiefer Sutherland est bluffant, on le voudrait pour mari, gendre ou père, on ne sait pas trop mais on l'adopte, c'est obligé. Et puis c'est stressant, chaque épisode pourrait faire un mini film. Voilà donc une occupation qui fait passer mes journées en un clin d'oeil. Allez, je file, la saison 3 m'attend !

A comme...

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Après tout, on ne devrait pas avoir besoin de l'Amour ! si seulement c'était un besoin que l'on se créee, qui varierait à la demande et que l'on pourrait faire fluctuer suivant le désir ! Oui, l'Amour ne devrait qu'être que bon, jamais source de souffrance, de tristesse ou de haine. Un lieu choisi à deux, où l'on se retrouverait, quand le coeur ou le corps nous en dit.

Pas un truc qu'on subit, dont on est la marionnette, qui nous envoie des pulsions, des flèches ou des sensations de douceur jusqu'en dedans. Tellement contradictoire, cet Amour. Je t'aime mais je te hais. Je t'adore mais je te blesse, je te désire mais tu es une traîtresse, mon Coeur, menteuse, mon Amour , s.........

Fichu Amour, je te déteste. Je n'aurais jamais dû croiser ta route, Après toi il ne subsiste plus que braises et cendres. Il ne naît rien après elles. Rien de bon. Si je n'avais jamais croisé ta route, alors je rêverais encore aux pays merveilleux, où les princes charmants vous embrassent tendrement. Je serais encore Sissi qui pleure son Aimé.

Maintenant je suis juste un tas de cendres. Un soupçon de vent et il disparaît. Un coup de pied et il s'envole.

Voilà le résultat de ce qu'on appelle le sentiment le plus beau qu'il soit...

Foutaises !