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mardi, 24 juin 2008

Viva la vida ²

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Ca y est ! enfin !! le nouveau COLDPLAY est arrivé !
Et j'ai beau faire fi du passé, écouter avec une oreille neuve et critique... rien n'y fait : je suis accro dépendante totalement in love de Coldplay, encore et toujours.
Donc que ceux qui n'aiment pas s'en aillent parce que cet album c'est... du fort de chez très bon Coldplay. Comment expliquer... ?  c'est, dès la première écoute, des larmes qui montent sur un accord de guitare qui fait résonner tristesse et douceur, qui oscille entre souffrance et plaisir. C'est doux comme le miel et plus les chansons défilent, plus les accords s'enchaînent, plus la voix de Chris Martin entraîne au décollage et plus on se sent léger. Finalement, au bout de l'album on se sent mieux.
Il va beaucoup tourner avant de les revoir en concert... ^^ !

mercredi, 12 mars 2008

Fluidité

Il vient dans ma maison, je m'installe dans la sienne.
Il me présente ses amis qui craquent pour moi,
Mes copines viennent dîner et comprennent pourquoi
Il est si exceptionnel

C'est difficile à expliquer...

Lui résume cela en un mot :

fluidité

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Je n'en trouve pas de meilleur pour imager notre relation
Tout se met en place tout seul, naturellement.

Nul besoin d'enfoncer des murs ou d'abattre des montagnes.
Juste laisser les choses aller et éviter de se poser les mauvaises questions,
Celles qui polluent inutilement et gangrènent le tout. Non.
Juste vivre et contempler, s'extasier de notre chance et rire.

Goûter au bonheur de vivre et d'être ensemble.

Partager la joie de s'aimer

Vivre chaque instant intensément et profiter.

 

 

mardi, 12 février 2008

1ère note... (Day by day)

Je n'ai pas écrit depuis un moment, essentiellement par manque de temps... Et j'ai eu l'idée de cette petite rubrique rien qu'à moi, où je pourrais noter, jour après jour, une raison qui fait que mon coeur bat plus fort pour lui. Une choisie parmi d'autres, comme un marque-page quotidien de ce qui fait toute la différence entre lui, et tous les autres.

 

Pour aujourd'hui, ce sera

juste de t'avoir eu à mes côtés de matin au réveil.

Même si j'ai passé la nuit à tenter de regagner un peu de place dans mon lit trop étroit ;

j'étais heureuse de sentir ta présence chaude et rassurante à mes côtés.

mardi, 05 février 2008

Il est...

Il est...

L'Homme le plus doux, le plus aimable, le plus intelligent qu'il soit. Il est à la fois patient, gentil, protecteur et sensible. Il me rassure et me comprend comme aucun homme jusqu'ici.

Il est...

Celui avec qui j'aime rire, celui avec qui, parfois, je pleure. Celui que j'attendais depuis toujours. prévenant et tendre, drôle et ferme, une main de fer dans un gant de velours.

Et depuis les tous premiers instants, tant de trois fois rien et de choses si profondes qui nous ont réunis, qui nous ont permis de nous reconnaître dans cette jungle humaine. Des évidences si rapides. Pas de question, aucune question si ce n'est un "c'est étrange, non ?" prononcé, parfois, en même temps. Des mots dits par l'autre lorsqu'on les pense. Une curiosité et des affinités qui se dessinent en si peu de temps...

Et chaque jour qui passe, il m'étonne et me surprend. il me gâte, me prend la main, rend tout mon univers tellement coloré. J'aime son rire presque caverneux, j'aime sa voix dans la nuit qui me murmure "je t'aime" pendant son sommeil, j'aime me blottir dans ses bras et sentir sa force. J'aime juste qu'il soit là. Rien que cela. L'avoir à mes côtés, dans la pièce voisine.Le savoir en route pour rentrer à la maison. L'attendre impatiemment comme une adolescente et soupirer d'aise lorsqu'enfin il apparaît.

Oui c'est mon Prince. J'ai une chance ENORME et je le sais. J'en ai presque honte parfois... on me l'envie déjà...
Il est mon diamant. Je dois le préserver, le garder jalousement pour nous permettre de continuer à tous rayonner de son Amour.

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[J'aime bien les St Valentin en décalé...]

alors juste cela pour toi, Mon Amour :

Je t'aime

Tu es mon Trésor unique et précieux.

Je ferai tout pour te garder, t'aimer et être celle, à tes côtés, dont tu pourras de nouveau être fier.

vendredi, 25 janvier 2008

Cadeaux

A deux heures du matin on a raccroché en se disant bonne nuit

Et mon Fou d'Amoureux n'est pas allé se coucher comme promis. Non.

Il a fait des paquets cadeaux et est venu me déposer cela devant ma porte et dans ma boîte aux lettres.

Comme un ange qui passe. Sous prétexte de St Valentin qui commence avant l'heure.

Ma journée a été illuminée de tous ces présents tellement touchants.

Il me couvre de cadeaux, comme si j'étais une princesse.

Il est fou.

Il est unique.

Je l'aime.

Merci Mon Trésor
Je t'aime

jeudi, 24 janvier 2008

Indice

Mon indice de St Valentin... c'est ça :

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Moi, j'ai trouvé !!
Quand je vous dis qu'il est fou !...

 

mercredi, 09 janvier 2008

Baraka

2008 s'annonce sous de nouveaux auspices... Nouvel Amour, avec un A majuscule... De celui qui rime avec "40 prochaines années", un refrain que nous jouons en duo et en boucle. Un coup de foudre comme dans les livres, comme dans les films, mieux que dans l'imaginaire. Bref, celui que j'ai cherché depuis mon adolescence et qu'enfin, enfin... j'ai trouvé.

Nouveau boulot de dans un mois environ, la date n'étant pas encore précisée vu la période, mais confirmée. Une promo et un boulot qui va, certes, être très prenant, où j'ai beaucoup à apprendre ; mais qui me permet de retourner à mes premières amours à savoir l'informatique.

Laissez le tout mijoter une petite quinzaine à peine et c'est ainsi que le vent tourne, que la vie tout à coup se met à me dire "c'est ton tour, saisis ta chance !" je l'ai fait et tout s'est éclairé d'un coup. Soudain, à nouveau j'aperçois l'avenir, le tunnel est déjà derrière moi et semble si loin !...


Comme quoi, il ne faut jamais jurer de rien ni penser que tout est terminé, car tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir...

Allez je file, mon Amour, m'attend alors !...

 

dimanche, 30 décembre 2007

Aimer...

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Je croyais qu'Aimer rimait avec faire des efforts (ou des concessions).

Mon Amour m'a appris que j'avais tort.

Aimer c'est juste l'inverse.

Aimer c'est donner sans s'en rendre compte, et recevoir au centuple.

Aimer c'est juste être soi et combler l'autre presque "malgré soi".

Aimer c'est sentir, à chaque jour qui passe, que l'on se remplit d'une sensation douce et apaisante qui ne demande qu'à rayonner tout autour. On est littéralement "porté" et tout se met en place naturellement, sans aucun effort, logiquement.

Aimer c'est se sentir libre et rendre l'autre libre.

Aimer c'est se laisser emporter et ne plus rien contrôler. Et constater que le lien s'enracine profondément pour mieux nous porter vers les autres.

Enfin !

Je sais ce qu'est Aimer.

Aimer ce n'est pas se regarder l'un, l'autre.
C'est regarder ensemble dans la même direction

(Antoine de Saint-Exupéry)

vendredi, 28 décembre 2007

Trève (des confiseurs) - suite

Courage, encore quelques jours et on les aura passées, ces satanées fêtes ! Oui, je sais, je joue les rabat-joie mais ça me tanne, cette période de l'année, à tous points de vue, vraiment !

Chéribibi a 3 jours de WE ! Hey, c'est la fête !! notre 1er WE (sans boulot) depuis nos retrouvailles ! de quoi faire péter le champagne, non ? Bon, certes, il n'est pas encore à mes côtés ; mais j'ai bon espoir qu'il me consacre au moins 2 jours sur les 3, rien que pour moi. Et même s'il ne fête pas Noël on a nos petits cadeaux respectifs à ouvrir et enfin, enfin, passer de longs moments ensemble, sans regarder la montre ; sans se dire " faut pas trop faire la grasse'mat si on veut profiter ", sans stresser sur l'heure de son départ pour le boulot. Cool, enfin !!

J'espère vraiment qu'en 2007 les choses vont se calmer rapidement, et que l'on va pouvoir enfin se poser un peu tous les deux, histoire de  projeter un peu nos vies dans le futur.

En attendant, il paraît que le 31 c'est le réveillon. Je suis contente, on sera ensemble, cocoonés à siroter du champagne et à grignoter quelques toasts de foie-gras. Finalement là est l'essentiel : être avec l'être aimé. Le reste n'a que peu d'importance.

PS : les vacances, même à domicile, c'est tout de même extra chouette !

samedi, 15 décembre 2007

Bal Tard (II)

L'air froid me frappe le visage et me remet direct les idées en place. Ouf, je respire encore, je suis vivante... donc mes soupçons étaient justifiés et ma peur fondée... oui mais tu as déjà pensé ça et... tu t'étais plantée ! Il t'aime ! oui mais s'il y a eu quelquechose : je ne peux pas le savoir, j'aurais dû coincer son pote et le torturer pour qu'il lâche l'affaire... Je cours plus que je ne marche et Chéri murmure derrière "je peux comprendre là ?" à quoi je marmonne dans mon col "non non y'a rien à comprendre, rien !" J'ai le coeur gros, je me sens triste et bête à la fois. Evidemment il n'a rien fait, sinon pourquoi m'aurait-il emmenée ici, dans la gueule du loup pour mieux se faire pincer ? ca ne tient pas la route..."

Une fois dans la voiture, ca explose. Je rongeais mon frein... ne rien dire, t'as été assez bête comme ça ! oui mais on peut pas dire qu'il ne s'est rien passé là ! je vais lui dire quoi ? que c'est le saumon qui était mauvais ? marf. C'est lui qui attaque. Ca fuse dans la voiture jusqu'à ce qu'à toutes mes questions, les réponses soient ... bêtement logiques et simples. Jusqu'à ce que je constate une fois encore que ce n'est pas lui qui déconne, mais moi. Evidemment il ne peut rien prouver, vu qu'il n'a rien fait ; évidemment il a des collègues féminines qu'il regarde. Point. Evidemment il plaisante à ce sujet avec ses collègues (masculins pour le coup). Logique. Non je n'ai pas confiance à 100% et je sais pourquoi.

Je sais que son passé de cavaleur, sautant sur chaque occasion pour en profiter n'aide pas. Evidemment, savoir qu'il a trompé son ex à tours de bras, et à qui il a juré tant d'années que non, "y'avait rien"... tant de "pas vu, pas pris !" que j'ai peur qu'il fasse pareil. Je sais que des occasions il en a à tours de bras, alors comment, moi, je le ferais changer de si mauvaises habitudes ?

Et puis il me dit et me répète encore une fois qu'il est heureux avec moi (contrairement à elle), qu'il a tout ce qu'il attend et cherche avec moi, qu'il a l'amour, la tendresse... et le sale caractère. Et puis "pourquoi aller me faire ch.... avec toi si j'ai toutes les nanas dans mes bras à côté ? Pourquoi je me serais donné tant de peine à venir te rechercher si je n'en avais rien à faire ?"

Oui, le problème vient de moi qui me sens incapable de rivaliser avec des petites jeunettes fraîches et inexpérimentées aux décolletés profonds. Moi qui me sens largement en dessous de lui, pas assez jolie pour qu'il me garde avec lui toute la vie. Moi qui finalement, manque juste de confiance... en moi.

Comment arriver à m'estimer un peu plus ? juste assez pour admettre que son amour est sincère, vrai et durable. Qu'il me connaît assez pour avoir fait le tour de mes plus gros défauts et les avoir acceptés. Je ne sais pas par quel bout changer à ce niveau là...

hélas.

vendredi, 14 décembre 2007

Bal Tard

Soirée de gala 2007. Mon chéri m'a conviée à la soirée pince-fesses de SaBoite. Grand meeting des Directeurs, plus de 400 personnes sur leur 31. Je l'ai taquiné "oh mais alors ca s'officialise ! tu ne pourras plus jouer les célibataires après ! t'es sûr de toi là ?" On a rit et on y est allés. Ce genre de soirée, c'est juste pour être vu. Juste pour dire "truc était là" et il faut être là. Ca serre des mains à droite, ca sourit et ca donne une fausse impression de naturel. Le PDG vient nous saluer, un autre me dit droit dans les yeux "c'est un homme bien que vous avez là, vous savez !". Oui je le sais !

Et puis il y a les collègues. C'est plus relax, ça plaisante et ça rigole. Forcément, les femmes sont au centre des discussions ; et je tends l'oreille sans commenter. Juste des allusions, des plaisanteries. Mais je trouve un peu étonnant ces hommes qui viennent seuls en disant ouvertement "je viens seul mais je ne repartirai pas seul haha !". No comment. Juste un peu... space ?

Tout se déroule bien, je joue les faux-culs comme il le faut dans ces circonstances. Puis c'est la pause cigarette à l'extérieur et là c'est un peu parti en vrille. Juste une phrase malheureuse de son collègue, un prénom féminin qui tombe au milieu et un regard lourd d'allusions vers Chéri qui rigole en le traitant de tous les noms. C'est rien Bullet, rien. Respire. Je sens que je m'enfonce et je mesure la vitesse de mes pensées qui s'enchaînent. Je ne dis rien, juste "ca se règlera après ! " dans un sourire. J'ai envie de retourner à table soudain. Et c'est son portable qui vibre. Une autre (!!) collègue qu'il m'a présentée qui lui reproche de ne pas l'avoir attendue pour la pause cigarette. Je glisse entre mes dents serrées "elle a ton n° de portable, elle !?" ben je sais pas comment elle l'a eu" "ben voyons !"

Je retourne à table. En 10 secondes, il me demande ce qui cloche "rien... je gère". La remise des prix tombe à point nommé et me permet de ne regarder que la scène. Je sens sa main sur mon genou, sur ma main, cherchant le contact que je lui refuse. Je ne bronche pas. J'ai mal. C'est bête, mais c'est ainsi. Je découvre tout à coup qu'il a une vie sans moi. Qu'il y a des femmes dans cette vie et que c'est normal. Pourtant j'ai mal. Mal de tout ce que je ne sais pas. Je constate que je ne lui fais pas confiance totalement. Pas à 100%. J'essaie de relativiser, de comprendre, de ne pas mettre de sens là où ce n'est pas nécessaire. j'essaie de transposer la situation, d'inverser les rôles. Et si c'était moi ?... Je le sens juste à côté cherchant à comprendre ce qu'il a dit ou fait. Or c'est justement ce qu'il n'a pas dit qui me blesse. Mais ce n'est pas le moment de péter un câble. Je respire et je n'ai qu'une hâte : sortir, partir, m'enfuir.

Je l'ai déjà fait. Cela ne sert à rien. J'ai conscience de ma jalousie et je sais ma part de responsabilité dans ce malaise. Mais c'est comme une vague qui m'envahit. Une descente aux enfers que je n'arrive pas à contrôler.

Une fois les vagues d'applaudissements passées et l'invitation à la danse prononcée je glisse un "on y va ?" Il acquièse et j'aurais couru, si j'avais pu. J'ai besoin de respirer et de retrouver mon calme avant cette discussion à laquelle je ne pourrai échapper. On va s'expliquer ça oui...

jeudi, 13 décembre 2007

Vacances

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Quelques jours dans le sud... Grand ciel bleu sous une chaleur printanière, bain de soleil, plein d'énergie, et découverte d'une région éclatante de couleurs, de vie, de gens sympathiques qui viennent parler naturellement à l'errante que je suis. Surprises à chaque coin de ruelle, à chaque passage piéton où les voitures s'arrêtent.
Découverte d'un monde un peu superficiel parfois, certes, mais tellement accueillant et chaleureux que l'on à du mal à s'en séparer.

Au final, que des bonnes choses, cette pause.

Et un mini album souvenir (à gauche) pour partager un peu de douceur et de chaleur dans ce froid qu'hélas j'ai retrouvé...

dimanche, 25 novembre 2007

Liberté

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Entre deux eaux

Flottement

Vie en suspens
Plus d'attentes, plus de colères intérieures.
Du calme,
Du repos,

Il s'amuse à hanter mes jours,
A s'incruster dans mes nuits
Il joue avec mon imaginaire
J'écarte les images
Loin,
Le plus loin possible

Liberté
Liberté Chérie
Je t'ai choisie
Avant tout le reste

Seule oui
Mieux que mal accompagnée

La voilà,

Ma liberté

[Listening to... Yael Naïm -  Shelcha]

vendredi, 23 novembre 2007

Truc de ouf

- T'as fait quoi ce WE ?
- Ben 40 000 prises
- Et après ?
- J'ai mis sur le net !
(clin d'oeil à F. qui se reconnaîtra, et à S. qui nous a montré ça... En souvenir d'une (nouvelle) soirée bien sympatoche !)

jeudi, 22 novembre 2007

Fêtes ? vous avez dit Fêtes ?

Non ! je ne suis pas en colère... enfin pas tout à fait, je ronge mon frein ; je respire profondément et je prends mon mal en patience. Les fêtes par-ci, les fêtes par-là. Faire les courses et approcher d'un centre commercial est à nouveau devenu le parcours du combattant, et cette folie fait grandir de jour en jour mon envie de m'enterrer aux fins fonds de la Creuse.

Et ce n'est qu'une part du tout... Forcément mon chéri travaillant dans le secteur du jouet et - tant qu'à faire - à perpette les olivettes, l'autre combat est d'arriver à se voir. Juste se voir, ca serait déjà pas mal ?! mais non, c'est mission impossible. Debout 5h, coucher minuit, 7 jours sur 7 ; autant dire qu'il n'y a pas beaucoup de place pour le conjoint dans cette vie-là (hormis pour se réchauffer la nuit et encore !). Record battu : nous avons réussi - contre vents et marées - à nous voir 14h en 15 jours (nuit incluse). Yalla !! Prochain rendez-vous en 2007 ? c'est probable...

Et puis il va falloir ô joie, acheter le sapin, décorer l'appart. Impossible de faire autrement avec les enfants. Et il faut garder l'esprit de Noël et accomplir les tâches en chantonnant "il est né le divin enfant" et "petit renne au nez rouge". Mon Dieu. Au secours !!
Je n'amplifierai pas mon rejet de tout cela en ajoutant que le côté financier de l'histoire ne fait qu'amplifier le ras le bol : on ne peut pas y échapper : c'est le rouleau compresseur et qu'on le veuille ou non de toute façon c'est impossible de faire autrement (à moins de s'enfuir à l'étranger pendant une quinzaine de jours mais ceci n'est pas politiquement correct).

Et puis au boulot c'est génial les clôtures budgétaires de fin d'exercice ! on s'amuse tellement avec SAP : que de la rigolade, si si je vous assure : le bonheur comme je l'aime !

C'est sûrement pour toutes ces raisons que je suis de plus en plus anti-fêtes de fin d'année. Je n'aime pas que l'on m'oblige à faire la fête parce que la période l'exige. Je n'aime pas que l'on m'oblige à enguirlander un sapin. Je n'aime pas être obligée de faire des cadeaux parce que je ne peux pas faire autrement. Je n'aime pas cette folie dépensière qui nous écrase. Je refuse... mais je fais comme tout le monde au final !

 

Vivement janvier que les décos soient redescendues à la cave, que l'on puisse reprendre une activité normale. Que les aiguilles du sapin soient aspirées, que tout ce délire programmé s'arrête !

[Whouarggh !]