jeudi, 31 mai 2007
Pon-pon(t)
Les c... qui bossent le vendredi de l'ascension : comptez-vous ?!!
Moi, moi ! prem's moi ! (disait l'âne de Shrek). Bon sang, que c'est mort, ok j'ai l'ipod sur les noreilles (et kate Bush qui me sussurre "don't give up" haha si elle savait !). Et le truc de la Pentecôte, vous y avez compris quelque chose vous ? Non, parce que chez nous, ils auraient rarement pu faire plus compliqué (d'ailleurs je n'ai toujours pas rentré ma journée dans le bizness, tellement il faut que je me concentre avant). j'explique :
Le site (géographique) de mon boulot est fermé.
MAIS c'est plus cadeau, la journée !
SEULEMENT ils ne la défalquent pas directement de ta paye (ou de tes congés). Non, parce que nous, on peut poser soit une RTT, soit une JNT, soit un congé d'ancienneté, soit un CA bref, ce qu'on veut pourvu qu'on pose. (enfin pas de l'arrêt maladie, quand même, ni de l'enfant malade ou de la mère de famille, faut pas pousser mémé dans les orties non plus, la pauvre mémé, c'est pour elle tout ça quand même !)
Bien. Jusque là c'est gérable. Sauf que :
- Si je bosse à 32h : je pose 6h40, si je bosse à 35 je pose 7h.
MAIS : je pose un jour (mettons le mardi 22 mai, au hasard, jour tout à fait normal). Donc, je pose du CA, 6h40 vu que je suis à 32h (vous suivez ?). Ben l'astuce, c'est que ce jour-là, il faut que je vienne bosser les 6h40.
Complètement débile leur truc, non ? Ils n'auraient pas mieux fait de déduire 7h à tout le monde directement dans le système plutôt que nous faire suer avec des "je pose des congés et je viens travailler, solidarité mon frère !".
Bon, m'enfin on va pas s'énerver pour ça, ca fait juste 3 ans qu'ils nous gonflent avec ça (j'aimerais bien savoir ce qui revient effectivement au 3ème âge, mais c'est un autre débat). L'amusant est que les enfants n'ont pas école mais les profs sont tenus d'être présents :|
Vive la France, quand même ! on a l'art et la manière de compliquer les choses simples, non ?
18:27 Publié dans Souvenirs lointains | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : blog, journal intime, journaux personnels
lundi, 28 mai 2007
Good Job !
Mardi comme un lundi, vivent les RTT. Petite nuit toute douce et réveil comateux. Il faut dégeler le pare-brise (avec ma méthode rapide de la bonne vieille bouteille d'eau), et c'est parti pour la dernière semaine de l'année. Enfin, dernière semaine de boulot.
Au courrier, une petite enveloppe rembourrée, juste pour moi.
Un petit mot, de bons voeux. Les premiers. Accompagnés de chocolats variés enrobés d'un joli ruban rose.
Juste un collègue que j'ai dépanné comme n'importe quel autre ; et qui me remercie à sa façon. Touchée.
Il m'a fallu un peu de temps pour réaliser que ce n'était pas une erreur. Les remerciements au travail, ça fait belle-lurette que je ne les attends plus. C'est bien connu, quand tout va bien, c'est silence de rigueur. C'est quand ça barde qu'on a des échos.
Sauf là. Comme ça. Gratuitement...
Comme l'image pour "bon travail" que la maîtresse de primaire nous remettait officiellement, devant toute la classe.
Finalement, je suis restée une grande enfant, probablement...
18:44 Publié dans Mon placard | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : blog, journal intime
Ca m'énerve (la suite)
Depuis un bon moment je n'avais pas pris de RTT. EDF tenant absolument à voir mon compteur, j'ai pris ma journée dans le but de faire la grasse matinée. N'ayant dormi que 6 petites heures au cours des 3 jours précédents, je me réjouissais à l'idée de comater jusqu'à pas d'heure. Même Chéri était prévenu "merci de ne pas m'appeler à 8h00 tapantes, même en cas d'urgence !". L'entourage SAIT que c'est sacrilège de m'appeler tôt, donc pas de problème tout devait se dérouler comme prévu...
Mais malgré les boules quiès, vraie garantie d'une nuit longue et reposante, le téléphone m'a réveillée à 9h00 pétantes. J'adore être réveillée par le téléphone, en particulier lorsque je dors et surtout par une collègue de boulot à qui j'avais, malencontreusement laissé mon numéro il y a plusieurs d'années pour les cas d'urgence.
Il y a des fois où je me demande si c'est moi ou bien... mais ce n'était même pas l'heure à laquelle je devais être au boulot si j'avais bossé. Avec un soupçon de jugeotte, elle n'aurait pas pu attendre je ne sais pas moi... l'après-midi ? Jamais on pense à l'autre dans cette vie ? Jamais on respecte l'autre ? Ben non, pas elle en tout cas. Elle c'est boulot-boulot, et rien à faire du reste. T'es pas là et ben je t'appelle chez toi pardi ! hop hop hop, efficacité à tout prix !
Tout ça pour un post-it collé sur son écran hier avant de partir, qui lui donnait pourtant toutes les infos nécessaires pour qu'elle agisse. D'ailleurs son appel ne l'aura pas faite avancer d'un iota, mais qu'importe ! il y a des gens, comme ça... comment dire, ce n'est plus du zèle, ca frise le collaborationisme. C'est pas lèche-bottes, c'est qu'il faut que tout le monde sache bien qu'il n'y a qu'elle qui bosse, vous voyez le genre ?
Elle a eu beau s'excuser de me réveiller, s'emmêler dans des "je pensais que t'avais tes filles !" "un jeudi ??!" (non parce que j'ai beau sortir des vapes, j'ai tout de même une capacité assez étonnante de savoir très vite où je suis, quel jour on est, l'heure et le contexte de la journée en cours). Donc MERCI F. pour le respect de ma vie privée, et aussi pour le démarrage de journée façon pitaing ell'm'fait ch... grrr... vais m'la faire celle-là... et autres noms d'oiseaux que je tairai eu égard à mes lecteurs.
T'façon m'en fous, j'ai réussi à replonger jusqu'à midi, na !
n'empêche qu'elle n'a pas intérêt à recommencer, sinon ca va swinguer au bureau
18:28 Publié dans Réflexions | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : blog, journal intime, journaux personnels
Dis, maman...
Quand j'étais gamine, et que je posais une question existentielle (ou gênante), je m'entendais répondre systématiquement "t'es trop petite, tu comprendras plus tard, quand tu seras grande !". J'ai donc interprété les choses en centimètres, car je ne voyais pas pourquoi, si l'on m'expliquait les choses, je ne comprendrais pas... et je comprenais encore moins qu'il faille que je mesure plus de X cm (combien ? je l'ignore encore !) pour avoir, enfin, des réponses à mes questions.
Face à mes enfants, il est vrai que certaines fois, je suis prise au dépourvu. Pas tant sur le "comment on fait des bébés" que sur le sens de la vie, de la mort ou d'autres questions plutôt périlleuses que l'on s'étonne de voir formuler dans la bouche d'un enfant.
Pour ce qui est de faire des bébés, il y a suffisamment de mots simples, d'explications imagées, voire de supports très bien faits pour ne rien cacher sans pour autant faire trop compliqué. Mes filles ont toujours eu des réponses claires aux questions (qui reviennent encore régulièrement cependant).
Là où cela se complique, c'est quand ma petite me dit "maman, il est où le cimetière de Jésus ?" ou "c'est quoi l'ascension ?". Pas évident d'expliquer avec des mots simples des choses évidentes pour soi (car on a baigné dedans tout petit, comme Obélix dans la potion magique). Il faut retourner aux racines et expliquer l'inexplicable. Mais les enfants comprennent à leur façon, et lorsque la petite qui me sort "mamie au ciel, elle va devoir faire attention aux avions !" je saisis l'importance du mot juste, différencier l'image de la réalité (mais quelle est-elle, cette réalité, hormis des convictions on ne peut plus personnelles !).
Il est des jours où je me sens particulièrement équilibriste...
02:01 Publié dans Souvenirs lointains | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : blog, journal intime, journaux personnels
vendredi, 25 mai 2007
Ca m'énerve !
Si jamais je choppe le petit morveux qui s'amuse à rayer ma voiture à chaque fois qu'il passe devant, je le jure, je le fais valser par-dessus la barrière et atterrir sur la voie ferrée, tant qu'à faire, à un moment où le transilien passe, histoire que ça soit plus rock'n'roll.
J'ai beau être tolérante, il y a des trucs comme ceux-là qui ont le don de me foutre en rogne. C'est tellement facile, tellement gratuit d'aller faire ce genre de choses ! et ça rapporte quoi ? hein ? nan mais dites-voir que je puisse juger ? Franchement il y en a marre parfois de cette société de [censuré] où l'on ne peut rien avoir à soi, de propre et en bon état.
Quand ce ne sont pas les portières des voisins (et vas-y, ne la retiens pas ta portière de twingo, ca ne fera qu'un creux en plus sur la mienne !) c'est carrément la rayure tout du long (vitres incluses tant qu'à faire !). C'est le chacun pour soi, l'individualisme à outrance et le non respect du voisin (parce que c'est dur, parfois de faire un effort pour autrui !!)
Je souhaite juste ajouter que la moindre rayure profonde (comme c'est le cas ici) coûte en moyenne 1500 à 2000 € de carrosserie. Autant dire que ma voiture restera en l'état car je n'ai pas les moyens de faire réparer ce genre de choses (x 4 ou 5) pour avoir à le refaire dans 15 jours.
Donc MERCI à la personne concernée, dont j'aimerais vraiment connaître la motivation, de mettre ses mains dans ses poches la prochaine fois qu'elle passe à côté de ma voiture.
Pour changer de sujet, un grand merci aussi à mes 12 frères et soeurs de s'être contentés d'un coup de fil à notre mère pour le jour de sa fête hier. Non, vraiment, ca vaut le coup d'avoir fait autant d'enfants pour se retrouver en maison de retraite complètement seule ce jour-là. Moi qui pensais passer la voir entre deux autres rendez-vous des uns ou des autres, j'ai juste constaté qu'elle n'avait eu que ma visite de tout le WE. Bravo : classe. Rien à ajouter.
Je vais arrêter là pour le moment, car sinon je pense que je pourrais m'énerver... ^^
18:46 Publié dans Mon placard | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : blog, journal intime, journaux personnels
jeudi, 24 mai 2007
Flashes
J'ai des flashes, des images qui surgissent devant mes yeux parfois. Une idée qui passe furtivement. Souvent, je l'enregistre dans un coin en prenant cela pour un signal. Et c'est ainsi, je crois, que je me monte la tête. Je crois sûrement trop à ces trucs débiles. J'ignore même pourquoi je pense des choses pareilles, comment cela peut-il me venir à l'esprit ?
Il faut que j'arrête ça. Que j'arrête de penser, de réfléchir en permanence sur la moindre virgule, le moindre détail. A chaque fois, cela se termine mal et je ne veux plus que cela se termine mal, bon sang !
Il faut que je change. Que je sois plus cool, que je fasse confiance, que je sois patiente.
Il faut que j'aie un minimum d'espoir, comme un fond de douceur, toujours en moi. Un truc, rien qu'un qui m'apaise. Une idée, un souvenir, une image qui s'impose dans le doute et tout à coup relâche toutes les tensions, toutes les angoisses ; qui me libère et me fasse reprendre confiance.
Mon seul remède,
L'unique qui parvienne à faire ça,
Je le connais.
C'est lui.
01:50 Publié dans Souvenirs lointains | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : blog, journal intime, journaux personnels
mercredi, 23 mai 2007
Bof
Aujourd'hui, on dira que c'est un jour " sans "
Qui rime avec
Etouffement
19:31 Publié dans Mon placard | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : blog, journal intime, journaux personnels
mardi, 22 mai 2007
Le jardin
J'ai 6 ou peut-être 7 ans. Je cours et claque la porte derrière moi. Mes pas font ce son si caractéristique sur les graviers du jardin. J'arrive au hangar à mobylettes. Ouvert, tout jaune en plastique transparent. J'aime me cacher là lorsqu'il pleut et écouter les gouttes tomber sur le toit. Ca fait un bruit bizarre. Je grimpe sur le solex. Je n'ai pas le droit, je le sais mais tant pis, personne ne le saura jamais. J'envie mes frères et soeurs qui ont le droit, eux, de s'en servir en vrai.
Plus loin, il y a le garage à vélos. Celui-là il me fait peur, il me met mal à l'aise. C'est probablement de là que vient ma peur des airaignées. Il est tout vieux, il y a plein de bazar, même sans porte, il est grand et donc tout noir, avec des toiles d'araignées partout, des bric à brac empilées, amas de jouets, d'outils, de vieux vélos déglingués. Je n'aime pas trop franchir le seuil alors je file vers le portique.
J'ai posé une échelle contre un arbre. Mon grand jeu c'est de balancer le trapèze et de sauter depuis l'échelle pour faire la trapéziste. Je voudrais faire ça plus tard : trapéziste. Voler dans les airs et faire des figures. Tout là haut.
C'est facile, même moi j'y arrive ! Je m'accroche aux anneaux de fer. Bof, on ne peut pas faire grand chose avec ça, tant pis, je m'en vais.
Me voilà au pied du sapin. Il est tout biscornu mais je l'adore. Je me cache dedans, je grimpe aux branches et je retrouve ma cachette, tout en haut. J'y emmène mes poupées, un livre et je reste là, à m'inventer des histoires. Lorsque j'entends qu'on m'appelle je ne bouge pas... Et si je n'étais plus là, ca ferait quoi ? Une de plus, une de moins... Finalement les frères et soeurs s'y mettent à plusieurs. Il faut que je me montre vite avant que l'on ne découvre ma cachette.
On se lance dans une partie de ping-pong. j'aime bien ces parties où l'on est trop nombreux pour vraiment jouer, où on tourne autour de la table à 7 ou 8 ou plus. Où l'on se repasse les raquettes en courant. Où d'une balle on se fait éliminer. Où l'on éclate de rire tous ensemble. Je me défends au ping-pong, et les frères et soeurs l'admettent. Impression fugace de pouvoir me mesurer à eux tous, moi la petite dernière.
Elles auront été rares, les années de jeux tous ensemble... Forcément, passé un certain âge, jouer avec les petits c'est la honte. Et quand on est dans les petits, qu'on sollicite une partie de chat ou de dello et qu'on essuie les "nan j'ai un truc à faire", on comprend qu'ils grandissent, qu'ils n'ont plus envie, qu'il ne faut pas les embêter avec ça.
Etrangement, la suite me revient comme étant essentiellement solitaire. Très solitaire. Malgré notre nombre, les allers et venues, les frères et soeurs en permanence ici et là, je passais, je glissais. J'avais l'impression d'être transparente, en trop. Je n'existais que par le rôle de "petite dernière". En dehors de cela, moi ou un(e) autre, vu le nombre, quelle différence cela pouvait-il faire ?
Les enfants uniques rêvent souvent de famille nombreuse...
Combien d'enfants de familles nombreuses ont rêvé d'être enfant unique ??
J'en faisais partie.
On n'a jamais ce qu'on veut, dans la vie !..
02:14 Publié dans Souvenirs lointains | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : blog, journal intime, journaux personnels
lundi, 21 mai 2007
Appelez-moi Professeur !
Suivant l'initiative de Jevli... Je suis donc désormais, dans la légende de Marvel...
You scored as Professor X. Superhuman mental powers: Professor X ordinarily possesses vast psionic powers, including telepathy; the ability to induce in others mental illusions, temporary mental or physical paralysis, and loss of specific memories or total amnesia; the projection of "mental bolts" to stun or render a person unconscious; astral projection; and the ability to sense other superhuman mutants within a small radius
What Marvel Hero would you be? created with QuizFarm.com |
01:24 Publié dans Souvenirs lointains | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : blog
dimanche, 20 mai 2007
Fly...
(à écouter absolument !)
Parce que c'est si bon de planer comme ça !...
23:30 Publié dans Muzzik | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : musique
Soledad
Juste une fusion mentale, juste un "on s'appartient" dans l'absolu ?
Celle qui rime avec silence, télé / ordi / couette.
Celle qui rime avec "j'aimerais te parler... mais tu n'es pas là"
J'ai inventé un nouveau concept de la relation à deux
à moi toute seule.
Je suis géniale...
19:30 Publié dans Réflexions | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : blog, journal intime, journaux personnels
mercredi, 16 mai 2007
Kubb
You're love keeps me breathing
You're love is my healer
You're love keeps me trying
You're love brings me humour
You're love always finds me
You're love gives me meaning
You're love is my master
You're love stops me kneeling
You're Love is my Father
You're love stops me dying
You're love is my brother
You're love has got me on my knees
You're love is my mother
You're love is like my sister
You're love floats around me
You're love is like no other
You're love keeps me breathing
You're love is my healer
You're love keeps me trying
You're love brings me humour
You're love always finds me
You're love gives me meaning
You're love is my master
You're love stops me kneeling
You're Love is myFather
You're love stops me dying
You're love is my brother
You're love has got me on my knees
[C'est pas de moi, c'est de Kubb mais c'est si joliment dit que je me l'approprie]
23:37 Publié dans Muzzik | Lien permanent | Commentaires (0)
Etat des lieux
Sachant que :
a) Mon loup travaille de 7h à 20h, 6 jours sur 7 en temps normal
b) Qu'il a ses enfants 1 WE sur 2 + un mercredi sur deux
c) Que de mon côté j'ai mes enfants 1 semaine sur deux
e) Que nos semaines sont inversées
f) Qu'il a, tout de même, besoin d'un peu de repos une fois de temps en temps
g) Que je pars en vacances en juillet et lui en août (à l'étranger, tant qu'à faire, autant pimenter un peu l'éloignement !)
h) Que j'ai rompu une bonne dizaine de fois pour ces raisons (et quelques autres)
Sachant que :
1/ Avec lui c'est compliqué, parfois tendu en particulier à cause de ces impossibilités de se voir
2/ Que lui sans moi c'est un zombie et que moi sans lui je suis une loque
3/ Que quelles que soient nos ruptures, il n'y a rien à faire : on ne peut pas se passer l'un de l'autre
4/ Qu'on s'aime comme jamais on a aimé et été aimés auparavant.
5/ Que toutes ces contraintes et ruptures ne suffisent pas à nous décourager...
~~~~
Je pose 7 je retiens 3 il reste 4.
4 Soirées, une fois tous les 15 jours pour pouvoir se voir, au grand maximum.
C'est compliqué, mais pas infaisable.
Il y en a d'autres qui doivent supporter bien pire, et qui s'en sortent !
Moi qui rêve d'indépendance et de liberté, voilà qui répond parfaitement à ce que je cherche, n'est-ce pas ?!
Il va juste falloir gérer.
On va y arriver ! Ayons foi en nous et en l'avenir... (positive attitude, à fond !)
Le tout étant d'arriver à passer les mois de novembre et décembre où là, il travaillera 7 jours sur 7 environ 15h par jour.
Pour le reste, ce n'est pas demain la veille qu'on habitera ensemble !...
A part ça, étrangement : tout va bien, il fait beau, je suis heureuse et le baromètre est sur plein soleil !
Va comprendre, Charles !
10:53 Publié dans Souvenirs lointains | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : blog, journaux intimes, journaux personnels
vendredi, 11 mai 2007
Chut !
19:34 Publié dans Souvenirs lointains | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : blog, journal intime, journaux personnels
jeudi, 10 mai 2007
Ma vie au soleil - Riké
Encore une chanson qui dit bien mieux que je ne le pourrai jamais ce que je ressens depuis... toujours
J'ai si longtemps pensé que ma vie n'était pas ici, mais là-bas...!
J’ai longtemps pensé que mon bonheur
Rimerait avec ailleurs
Regardant l’horizon
En attendant mon heure
J’ai souvent pensé que le destin
M’emmènerait au loin
Me poussant à l’exil
Mais seulement pour mon bien
J’ai espéré partir
Voir mon avion venir
Pour ne pas laisser les rêves ternir
Et enfin construire
Ma vie au soleil
Au pays des merveilles
Mon île
Mon île éloignée du béton des villes
J’ai pris le temps d’aller voir ailleurs
J’ai pas croisé le bonheur,
Juste des hommes qui, comme moi,
Rêvaient d’une vie meilleure
Sur le chemin du retour
J’ai essayé de comprendre
Où ce trouve cet Eden que chacun semble attendre
On rêve de ce qu’on a pas, sans voir ce que l’on a
Y’a tout autour de moi, pour construire de mes bras
Ma vie au soleil
Au pays des merveilles
Mon île
Protégée du béton des villes
Je suis parti en quête de mes rêves
Sans m’accorder de trêve
Pas une seconde à perdre
Tant je vois que la vie est brève
C’est ici que chaque jour je construis
De quoi nourrir ma vie
En délires en sourires, en amour en plaisirs
J’ai oublié l’ailleurs en profitant de chaque heure
Sans même m’en rendre compte
J’ai trouvé mon bonheur
Ma vie au soleil
Au pays des merveilles
Mon île
Au milieu du béton des villes
13:10 Publié dans Muzzik | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : musique, blog