vendredi, 28 décembre 2007
Trève (des confiseurs) - suite
Courage, encore quelques jours et on les aura passées, ces satanées fêtes ! Oui, je sais, je joue les rabat-joie mais ça me tanne, cette période de l'année, à tous points de vue, vraiment !
Chéribibi a 3 jours de WE ! Hey, c'est la fête !! notre 1er WE (sans boulot) depuis nos retrouvailles ! de quoi faire péter le champagne, non ? Bon, certes, il n'est pas encore à mes côtés ; mais j'ai bon espoir qu'il me consacre au moins 2 jours sur les 3, rien que pour moi. Et même s'il ne fête pas Noël on a nos petits cadeaux respectifs à ouvrir et enfin, enfin, passer de longs moments ensemble, sans regarder la montre ; sans se dire " faut pas trop faire la grasse'mat si on veut profiter ", sans stresser sur l'heure de son départ pour le boulot. Cool, enfin !!
J'espère vraiment qu'en 2007 les choses vont se calmer rapidement, et que l'on va pouvoir enfin se poser un peu tous les deux, histoire de projeter un peu nos vies dans le futur.
En attendant, il paraît que le 31 c'est le réveillon. Je suis contente, on sera ensemble, cocoonés à siroter du champagne et à grignoter quelques toasts de foie-gras. Finalement là est l'essentiel : être avec l'être aimé. Le reste n'a que peu d'importance.
PS : les vacances, même à domicile, c'est tout de même extra chouette !
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samedi, 15 décembre 2007
James Blunt - Goodbye My Lover
Did I disappoint you or let you down?
Should I be feeling guilty or let the judges frown?
'Cause I saw the end before we'd begun,
Yes I saw you were blinded and I knew I had won.
So I took what's mine by eternal right.
Took your soul out into the night.
It may be over but it won't stop there,
I am here for you if you'd only care.
You touched my heart you touched my soul.
You changed my life and all my goals.
And love is blind and that I knew when,
My heart was blinded by you.
I've kissed your lips and held your head.
Shared your dreams and shared your bed.
I know you well, I know your smell.
I've been addicted to you.
Goodbye my lover.
Goodbye my friend.
You have been the one.
You have been the one for me.
I am a dreamer but when I wake,
You can't break my spirit - it's my dreams you take.
And as you move on, remember me,
Remember us and all we used to be
I've seen you cry, I've seen you smile.
I've watched you sleeping for a while.
I'd be the father of your child.
I'd spend a lifetime with you.
I know your fears and you know mine.
We've had our doubts but now we're fine,
And I love you, I swear that's true.
I cannot live without you.
Goodbye my lover.
Goodbye my friend.
You have been the one.
You have been the one for me.
And I still hold your hand in mine.
In mine when I'm asleep.
And I will bear my soul in time,
When I'm kneeling at your feet.
Goodbye my lover.
Goodbye my friend.
You have been the one.
You have been the one for me.
I'm so hollow, baby, I'm so hollow.
I'm so, I'm so, I'm so hollow.
PS : rien à voir mais ^^ bon anniversaire Kiefer^^
21:55 Publié dans Muzzik | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : blog, musique, journaux intimes
Bal Tard (II)
L'air froid me frappe le visage et me remet direct les idées en place. Ouf, je respire encore, je suis vivante... donc mes soupçons étaient justifiés et ma peur fondée... oui mais tu as déjà pensé ça et... tu t'étais plantée ! Il t'aime ! oui mais s'il y a eu quelquechose : je ne peux pas le savoir, j'aurais dû coincer son pote et le torturer pour qu'il lâche l'affaire... Je cours plus que je ne marche et Chéri murmure derrière "je peux comprendre là ?" à quoi je marmonne dans mon col "non non y'a rien à comprendre, rien !" J'ai le coeur gros, je me sens triste et bête à la fois. Evidemment il n'a rien fait, sinon pourquoi m'aurait-il emmenée ici, dans la gueule du loup pour mieux se faire pincer ? ca ne tient pas la route..."
Une fois dans la voiture, ca explose. Je rongeais mon frein... ne rien dire, t'as été assez bête comme ça ! oui mais on peut pas dire qu'il ne s'est rien passé là ! je vais lui dire quoi ? que c'est le saumon qui était mauvais ? marf. C'est lui qui attaque. Ca fuse dans la voiture jusqu'à ce qu'à toutes mes questions, les réponses soient ... bêtement logiques et simples. Jusqu'à ce que je constate une fois encore que ce n'est pas lui qui déconne, mais moi. Evidemment il ne peut rien prouver, vu qu'il n'a rien fait ; évidemment il a des collègues féminines qu'il regarde. Point. Evidemment il plaisante à ce sujet avec ses collègues (masculins pour le coup). Logique. Non je n'ai pas confiance à 100% et je sais pourquoi.
Je sais que son passé de cavaleur, sautant sur chaque occasion pour en profiter n'aide pas. Evidemment, savoir qu'il a trompé son ex à tours de bras, et à qui il a juré tant d'années que non, "y'avait rien"... tant de "pas vu, pas pris !" que j'ai peur qu'il fasse pareil. Je sais que des occasions il en a à tours de bras, alors comment, moi, je le ferais changer de si mauvaises habitudes ?
Et puis il me dit et me répète encore une fois qu'il est heureux avec moi (contrairement à elle), qu'il a tout ce qu'il attend et cherche avec moi, qu'il a l'amour, la tendresse... et le sale caractère. Et puis "pourquoi aller me faire ch.... avec toi si j'ai toutes les nanas dans mes bras à côté ? Pourquoi je me serais donné tant de peine à venir te rechercher si je n'en avais rien à faire ?"
Oui, le problème vient de moi qui me sens incapable de rivaliser avec des petites jeunettes fraîches et inexpérimentées aux décolletés profonds. Moi qui me sens largement en dessous de lui, pas assez jolie pour qu'il me garde avec lui toute la vie. Moi qui finalement, manque juste de confiance... en moi.
Comment arriver à m'estimer un peu plus ? juste assez pour admettre que son amour est sincère, vrai et durable. Qu'il me connaît assez pour avoir fait le tour de mes plus gros défauts et les avoir acceptés. Je ne sais pas par quel bout changer à ce niveau là...
hélas.
01:36 Publié dans Souvenirs lointains | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : blog, journaux personnels, journal intime
vendredi, 14 décembre 2007
Bal Tard
Soirée de gala 2007. Mon chéri m'a conviée à la soirée pince-fesses de SaBoite. Grand meeting des Directeurs, plus de 400 personnes sur leur 31. Je l'ai taquiné "oh mais alors ca s'officialise ! tu ne pourras plus jouer les célibataires après ! t'es sûr de toi là ?" On a rit et on y est allés. Ce genre de soirée, c'est juste pour être vu. Juste pour dire "truc était là" et il faut être là. Ca serre des mains à droite, ca sourit et ca donne une fausse impression de naturel. Le PDG vient nous saluer, un autre me dit droit dans les yeux "c'est un homme bien que vous avez là, vous savez !". Oui je le sais !
Et puis il y a les collègues. C'est plus relax, ça plaisante et ça rigole. Forcément, les femmes sont au centre des discussions ; et je tends l'oreille sans commenter. Juste des allusions, des plaisanteries. Mais je trouve un peu étonnant ces hommes qui viennent seuls en disant ouvertement "je viens seul mais je ne repartirai pas seul haha !". No comment. Juste un peu... space ?
Tout se déroule bien, je joue les faux-culs comme il le faut dans ces circonstances. Puis c'est la pause cigarette à l'extérieur et là c'est un peu parti en vrille. Juste une phrase malheureuse de son collègue, un prénom féminin qui tombe au milieu et un regard lourd d'allusions vers Chéri qui rigole en le traitant de tous les noms. C'est rien Bullet, rien. Respire. Je sens que je m'enfonce et je mesure la vitesse de mes pensées qui s'enchaînent. Je ne dis rien, juste "ca se règlera après ! " dans un sourire. J'ai envie de retourner à table soudain. Et c'est son portable qui vibre. Une autre (!!) collègue qu'il m'a présentée qui lui reproche de ne pas l'avoir attendue pour la pause cigarette. Je glisse entre mes dents serrées "elle a ton n° de portable, elle !?" ben je sais pas comment elle l'a eu" "ben voyons !"
Je retourne à table. En 10 secondes, il me demande ce qui cloche "rien... je gère". La remise des prix tombe à point nommé et me permet de ne regarder que la scène. Je sens sa main sur mon genou, sur ma main, cherchant le contact que je lui refuse. Je ne bronche pas. J'ai mal. C'est bête, mais c'est ainsi. Je découvre tout à coup qu'il a une vie sans moi. Qu'il y a des femmes dans cette vie et que c'est normal. Pourtant j'ai mal. Mal de tout ce que je ne sais pas. Je constate que je ne lui fais pas confiance totalement. Pas à 100%. J'essaie de relativiser, de comprendre, de ne pas mettre de sens là où ce n'est pas nécessaire. j'essaie de transposer la situation, d'inverser les rôles. Et si c'était moi ?... Je le sens juste à côté cherchant à comprendre ce qu'il a dit ou fait. Or c'est justement ce qu'il n'a pas dit qui me blesse. Mais ce n'est pas le moment de péter un câble. Je respire et je n'ai qu'une hâte : sortir, partir, m'enfuir.
Je l'ai déjà fait. Cela ne sert à rien. J'ai conscience de ma jalousie et je sais ma part de responsabilité dans ce malaise. Mais c'est comme une vague qui m'envahit. Une descente aux enfers que je n'arrive pas à contrôler.
Une fois les vagues d'applaudissements passées et l'invitation à la danse prononcée je glisse un "on y va ?" Il acquièse et j'aurais couru, si j'avais pu. J'ai besoin de respirer et de retrouver mon calme avant cette discussion à laquelle je ne pourrai échapper. On va s'expliquer ça oui...
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jeudi, 13 décembre 2007
Vacances
Quelques jours dans le sud... Grand ciel bleu sous une chaleur printanière, bain de soleil, plein d'énergie, et découverte d'une région éclatante de couleurs, de vie, de gens sympathiques qui viennent parler naturellement à l'errante que je suis. Surprises à chaque coin de ruelle, à chaque passage piéton où les voitures s'arrêtent.
Découverte d'un monde un peu superficiel parfois, certes, mais tellement accueillant et chaleureux que l'on à du mal à s'en séparer.
Au final, que des bonnes choses, cette pause.
Et un mini album souvenir (à gauche) pour partager un peu de douceur et de chaleur dans ce froid qu'hélas j'ai retrouvé...
01:57 Publié dans Souvenirs lointains | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : blog, journaux intimes, journaux personnels, photographie
dimanche, 25 novembre 2007
Liberté
Entre deux eaux
Flottement
Vie en suspens
Plus d'attentes, plus de colères intérieures.
Du calme,
Du repos,
Il s'amuse à hanter mes jours,
A s'incruster dans mes nuits
Il joue avec mon imaginaire
J'écarte les images
Loin,
Le plus loin possible
Liberté
Liberté Chérie
Je t'ai choisie
Avant tout le reste
Seule oui
Mieux que mal accompagnée
La voilà,
Ma liberté
[Listening to... Yael Naïm - Shelcha]
02:00 Publié dans Souvenirs lointains | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : blog, journaux intimes, journaux personnels
vendredi, 23 novembre 2007
Truc de ouf
11:19 Publié dans Souvenirs lointains | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : blog, journaux intimes, journaux personnels
jeudi, 22 novembre 2007
Fêtes ? vous avez dit Fêtes ?
Non ! je ne suis pas en colère... enfin pas tout à fait, je ronge mon frein ; je respire profondément et je prends mon mal en patience. Les fêtes par-ci, les fêtes par-là. Faire les courses et approcher d'un centre commercial est à nouveau devenu le parcours du combattant, et cette folie fait grandir de jour en jour mon envie de m'enterrer aux fins fonds de la Creuse.
Et ce n'est qu'une part du tout... Forcément mon chéri travaillant dans le secteur du jouet et - tant qu'à faire - à perpette les olivettes, l'autre combat est d'arriver à se voir. Juste se voir, ca serait déjà pas mal ?! mais non, c'est mission impossible. Debout 5h, coucher minuit, 7 jours sur 7 ; autant dire qu'il n'y a pas beaucoup de place pour le conjoint dans cette vie-là (hormis pour se réchauffer la nuit et encore !). Record battu : nous avons réussi - contre vents et marées - à nous voir 14h en 15 jours (nuit incluse). Yalla !! Prochain rendez-vous en 2007 ? c'est probable...
Et puis il va falloir ô joie, acheter le sapin, décorer l'appart. Impossible de faire autrement avec les enfants. Et il faut garder l'esprit de Noël et accomplir les tâches en chantonnant "il est né le divin enfant" et "petit renne au nez rouge". Mon Dieu. Au secours !!
Je n'amplifierai pas mon rejet de tout cela en ajoutant que le côté financier de l'histoire ne fait qu'amplifier le ras le bol : on ne peut pas y échapper : c'est le rouleau compresseur et qu'on le veuille ou non de toute façon c'est impossible de faire autrement (à moins de s'enfuir à l'étranger pendant une quinzaine de jours mais ceci n'est pas politiquement correct).
Et puis au boulot c'est génial les clôtures budgétaires de fin d'exercice ! on s'amuse tellement avec SAP : que de la rigolade, si si je vous assure : le bonheur comme je l'aime !
C'est sûrement pour toutes ces raisons que je suis de plus en plus anti-fêtes de fin d'année. Je n'aime pas que l'on m'oblige à faire la fête parce que la période l'exige. Je n'aime pas que l'on m'oblige à enguirlander un sapin. Je n'aime pas être obligée de faire des cadeaux parce que je ne peux pas faire autrement. Je n'aime pas cette folie dépensière qui nous écrase. Je refuse... mais je fais comme tout le monde au final !
Vivement janvier que les décos soient redescendues à la cave, que l'on puisse reprendre une activité normale. Que les aiguilles du sapin soient aspirées, que tout ce délire programmé s'arrête !
[Whouarggh !]
18:45 Publié dans Mon placard | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : blog, journaux intimes, journaux personnels
mercredi, 21 novembre 2007
YAEL NAIM
Il est venu le temps pour moi de vous parler de Yaël Naim. Je suis abonnée à la newsletter de TOT OU TARD, une maison de disques qui sort des choses originales, mais je n'avais pas prêté assez d'attention à celle annonçant la sortie du splendide YaëL Naim. Parce que c'est un groupe (avec David Donatien), et non une personne, comme elle l'explique si bien.
Si vous n'avez pas encore entendu "new soul" alors jetez vous dans sur les bacs et arrachez ce CD à la foule parce que c'est ... hmmmm... doux, suave, tendre, planant, dépaysant... Je n'ai pas les mots pour décrire sa voix, la recherche instrumentale, la voix de son comparse, mais c'est bluffant de qualité.
Je pourrais ajouter que le clip est à l'image de l'album, très "petits oiseaux, fleurs des champs !" mais c'est chanté à la fois en Français, en hébreux et en anglais. La première chanson (Paris) déconcerte et puis le reste est un long voyage dans la douceur.
Dans un autre style, je vous conseille aussi cet album-ci :
Une voix magnifique, des harmonies tout en douceur,un album à écouter plusieurs fois pour y déceler toutes les perles cachées
(NB les deux sont présentes sur ma radioblog)
21:25 Publié dans Muzzik | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : musique, blog, journaux intimes, journaux personnels
mercredi, 14 novembre 2007
Vol de nuit
Elle en fera des poches
Pour mieux se persuader
Que sa vie n'est pas moche
Qu'elle est juste encombrée
Par des filles angéliques
Qui regardent son mec
Elle connaît la musique
Mais ses yeux restent secs
Sans bruit
Il la trompera
Sans bruit
Puis il rentrera
Lui dire
Il n'y a que toi que j'aime
La vie est une bohémienne
Et c'est sans bruit
Que les larmes viennent
Elle posera ses valises
Sur les quais des grandes lignes
Pour voir comment se brisent
Les illusions intimes
Elle refera sa vie
Mille fois dans sa tête
Mais ce qu'on décide la nuit
Demain sera peut-être
Sans bruit
Il la trahira
Sans bruit
Puis il rentrera
Lui dire
Il n'y a que toi que j'aime
La vie peut devenir chienne
Et c'est sans bruit
Que tout son cœur saigne
Elle pensera au pire
En longeant des écluses
Mais elle préfère souffrir
Sans se trouver d'excuses
Elle parlera de lui
Comme s'il était mort
Sur sa photographie
Elle jettera des sorts
Sans bruit
Elle le trompera
Sans bruit
Puis elle rentrera
Maudire
L'appartement désert
La vie est une carnassière
Et c'est sans bruit
Qu'on rentre en enfer
Sans bruit
Il la trahira
Sans bruit
Puis il rentrera
Lui dire
Il n'y a que toi que j'aime
La vie peut devenir chienne
Et c'est sans bruit
Que tout son cœur saigne
Sans bruit
P. FIORI - Sans bruit
01:56 Publié dans Souvenirs lointains | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : musique, blog, journaux intimes, journaux personnels
mercredi, 31 octobre 2007
Solitude
Choisir à nouveau sa bulle
20:45 Publié dans Réflexions | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : blog, journaux intimes, journaux personnels
dimanche, 28 octobre 2007
Coups de projo
Oui, ceci vous paraîtra incroyable et pourtant, je fais un coup de projecteur sur deux artistes que l'on pourrait supposer que je n'écoute pas et que pourtant j'apprécie :
Tout d'abord James Blunt
Son premier album (back to Bedlam) m'avait déjà interpellée et je crois que je sais désormais pourquoi les hommes le trouvent "cucul" C'est simplement parce que James Blunt est LE romantique par excellence. Et son nouvel album n'est que cela. Il a une voix à tomber, des harmonies simples mais qui se fredonnent en une écoute, (ok mettez ça dans l'easy listening si vous voulez !) bref : chaque chanson envoie une flèche pile là où il faut (à vous d'imaginer...) et au final entre larmes et souvenirs cet album crée tout un monde à lui seul...
Le second qui m'a surprise, c'est Christophe Maé.
Comme je l'explique à mes enfants, pour savoir si l'on aime ou pas quelque chose, il faut goûter, et j'ai osé goûter à Christophe Maé parce qu'après avoir entendu sa voix dans 3 titres (tubes ?) différents, il doit tout de même avoir un petit plus ce garçon.
Et il l'a. Son album là encore verse beaucoup dans le romantisme (oui je sais c'est adapté à mon humeur du moment !) mais... pas dans la guimauve pour autant. Il a du rythme, de l'entrain et des paroles plutôt assez recherchées, ce qui ne gâche rien. Bref, cet album est à écouter tranquillement vautré(es) dans son canapé...
02:00 Publié dans Souvenirs lointains | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : blog, musique, journaux intimes
vendredi, 26 octobre 2007
Ciel !
20:14 Publié dans Souvenirs lointains | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : blog, journal intime
jeudi, 25 octobre 2007
[...]
01:48 Publié dans Souvenirs lointains | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : blog, journaux intimes, journaux personnels
mercredi, 24 octobre 2007
Lâchez-moi !
C'est quoi ces gens qui vous collent aux basques comme de la super glue ? Par nature, je suis patiente, compréhensive et j'essaie, lorsque la coupe est pleine de faire comprendre gentiment que là... c'est bon ! Mais c'est à croire que certains ne veulent pas comprendre. Comme si je leur appartenais, à ces gens-là ! Mais je n'appartiens à personne d'autre qu'à moi, bon sang, comment le dire ? Le plus horripilant reste ces personnes qui veulent plus que tout être vos amis, vos *meilleurs* amis, ceux en top de liste, comme si, en dégoulinant de mielleux compliments, j'allais accourir comme un jeune chiot vers sa pâtée...
Mais fuck off quoi !! FUCK OFF ! J'ai envie qu'on me lâche les basques là, qu'on me laisse vivre ma vie, dans mon coin et surtout de n'avoir à subir aucune question, aucun interrogatoire en règle. Marre des "alors quoi de neuf ma puce ?" D'abord, je ne suis pas ta puce, ensuite ce qu'il y a de neuf me regarde et enfin je n'en parle qu'à mes rares (mais précieux) confidents. Y'en a qui cherchent systématiquement le croustillant, hey faut arrêter de lire voici et gala, et puis surtout il serait temps de piger que je ne dis que ce que je veux et à qui je veux, quand je veux. Faudrait percuter là, que si je mets les voiles, c'est pour arrêter de me faire polluer par des personnes vides.
Marre d'être la bonne conne de service qui écoute les larmoiements de tout le monde et qui fait office d'éponge professionnelle aussi, ca commence à déborder sérieusement !
18:45 Publié dans Souvenirs lointains | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humeur du jour