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vendredi, 23 février 2007

Riké - Oublie-moi

S'il faut savoir baisser la tête
Jouer du baise-main et des courbettes
Pour être invité à la fête
Pour avoir droit a sa coupette
S'il faut savoir cirer les pompes
Du commandant et de ses pontes
Si c'est le mal qu'tu veux qui compte
Et les belles histoires qu'on raconte

{Refrain:}
Oublie-moi
S'il faut changer ce qui est moi
Oublie-moi
Oublie-moi
Pour être accepté ici-bas
Oublie-moi

Si pour pouvoir prendre ta main
Je dois abandonner les miens
Si pour avoir droit a tes lèvres
Je dois abandonner mes rêves
Si l'amour tel que tu l'atends
Ne se conjugue pas à plein temps

{Refrain}
J'veux pas rougir face au miroir
J'ai encore tant besoin d'y croire
Je veux pas trahir mes ideaux
Juste pour que chacun me trouve beau
Ma liberté n'a pas de prix
et si tout ca n'est pas compris

18:45 Publié dans Muzzik | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : blog, musique

samedi, 17 février 2007

Trop plein

Mal dormi et une évidence qui s'installe... il faut que j'arrête tout ça, que je le quitte pour de bon. Il me déçoit trop. Reconnaître qu'on est nul ne suffit pas. Me répéter "je t'aime" à l'infini non plus...

Marre des belles paroles et du zéro concret.

Mon horoscope du jour ?

On nourrit en cachette des sentiments pour vous et vous ne le voyez même pas. Pourtant on cherche discrètement à vous le faire savoir. Ouvrez bien grands les yeux, une aventure financière ne serait sans doute pas pour vous déplaire. Bon rapprochement en vue.

Haha ! Si seulement c'était vrai !... Il ne doit pas s'agir de lui en tout cas !

Pour l'heure : vive les vacances ! Je vais me laisser vivre et voir la suite...

mardi, 13 février 2007

Errances

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Pourquoi ce blues ? Trois petites notes d'amour noir qui se promènent dans ma tête, dans mon coeur. Un truc qui me retient juste en arrière, des bras qui m'empêchent de tomber.

Je voudrais le chasser de ma tête et de mes rêves
Je voudrais qu'il n'ait jamais existé.

Je ne croyais plus à l'amour quand je l'ai rencontré
Et il a mis le temps qu'il fallait, juste le temps
Pour me prouver que je me trompais,
Que l'amour existait
Et qu'il lui ressemblait

Je l'aime mais je le hais
D'être tout à coup si laid
Si bête, si commun...

Je lui en veux de m'avoir fait croire en des rêves
Des chimères, des illusions

Tout revient à sa source.
L'amour  est illusion
Mensonges à soi-même
Mensonges à l'autre

On se croit invincible mais on ne l'est pas
On est même tout l'inverse :
Offert sans condition
Aux dents et aux griffes de l'autre

L'amour ça fait vraiment trop mal

 

Mais l'amour, tu peux tout le garder,
Un soir je te l'avais donné
Et reprendre c'est voler
Oui reprendre c'est voler...

(JJ Goldman)

samedi, 10 février 2007

Soupir

C'est pas possible de l'aimer comme ça...

Ca me dépasse encore une fois.

Malgré tout

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Je t'attends...

 

 

PS : rien à voir mais M. fais un tour sur ma radio blog y'a un truc pour toi, comme une excuse ;o)) et l'album est SUPER!!

mercredi, 07 février 2007

Question de chance ?

Je disais il y a quelques jours que la chance arrivent à ceux qui la méritent et une nouvelle fois, ce principe s'avère vrai...

Ma semaine a débuté par un accrochage avec... le camion des éboueurs. Ils étaient situés du mauvais côté de la route, j'ai pensé que " ça passait ". En fait, il manquait quelques centimètres pour que ça passe. Mon rétro droit étant collé à une poubelle, j'ai stoppé pour rentrer celui de gauche, pensant ainsi gagner la place qu'il me manquait pour passer. Mais au moment de rabattre mon rétro voilà que le camion bouge, à l'instant où je me disais " toi pas bouger, non : pas bouger !" et là j'ai vu mon rétroviseur s'écrabouiller à petit feu...

Coincée dans ma voiture, le conducteur sort de son camion et... m'enguirlande ! "z'êtes malade vous de vouloir forcer comme ça !". Ouh là... Fallait surtout pas dire ça. S'il y a bien une chose que je ne supporte pas c'est l'injustice et le mensonge. Je me suis garée et l'engueulade a continué. Ils étaient 3 et moi seule avec mes deux puces. Je ne faisais pas le poids forcément. J'ai donc décidé de la jouer façon place Tien An Men : je me suis mise devant le camion en écartant les bras (vérité vraie : david contre Goliath) en criant "on fait un constat ! on fait un constat !"

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Que nenni. J'ai noté l'immatriculation et je les ai suivi en les incendiant "c'est pas correct ce que vous faites, vous le savez très bien !" mais autant parler... à une poubelle.

Bien évidemment dans ces cas-là, l'assurance prend TOUT en charge... sauf la franchise. Celle-ci étant plus élevée que les réparations, j'ai fait le deuil de mon rétro

Amen.

Super lundi, la semaine démarre en fanfare...

Le coup de rage passé, j'ai décidé de ne pas me laisser faire et j'ai été voir les flics, la mairie et finalement l'entreprise responsable. Ils m'ont rappelée aujourd'hui. Quand ils ont compris la situation et que les torts étaient pour eux à 100 %, ils ont cherché l'arrangement, que j'ai accepté. Ils prendront donc les réparations à leur charge et paieront la facture.

Et la chance dans tout ça ? Et bien c'est simplement que justement, ce rétro-là je l'avais cogné en me garant et qu'il était déjà abîmé avant.

La chance sourit à ceux qui la méritent...

... Pour cette fois !

dimanche, 04 février 2007

[Aparté]

On a la chance que l'on se donne, celle que l'on mérite aussi... En est-il de même du bonheur ? C'est ce qui tourne dans ma tête ces derniers temps. Etre heureux, c'est quoi ? Ai-je la vie dont je rêvais enfant ? Ne peut-on prétendre aspirer à mieux que ce que l'on a ? Et dans ce cas, c'est la spirale du toujours plus. Un état de perpétuelle insatisfaction, quels que soient les choix que l'on fasse, les décisions que l'on prenne, et qui visent toujours à un peu plus de bonheur... et que l'on ne peut jamais tout à fait atteindre.

Alors retour à la case départ : finalement de quoi est-on maître dans nos vies ? De soi, presque exclusivement. Le reste c'est la loterie. On ne choisit pas ses parents, sa famille, ses enfants. On compose avec. Parfois avec réussite, d'autres fois avec des constats d'échec.

Là où j'en suis, je ne cesse de me questionner sur ce que je mérite de vivre. Peut-être suis-je destinée à cette vie banale et parfois (trop) lourde à porter et que je n'ai pas 100% la main dessus. Peut-être qu'être adulte c'est juste accepter que la vie soit juste normale, banale, commune, lisse, plate et sans envergure.

Alors pourquoi aspirai-je à mieux, étant enfant ?

Je rêvais juste d'une vie que je choisirais. Pas que je subirais.

Mais c'est hors-normes ça.

vendredi, 02 février 2007

2 ou 3 choses

  • LAMCC, Broadcom et Cisco, membres de l'IEE, proposent d'améliorer la gestion d'énergie des réseaux hauts débits, par exemple en automatisant leur débit : un lien 10gigabit/s pourrait descendre automatiquement à 1gigabit/s ou 100Mbit/s en cas d'affaiblissement du flot de données à transmettre sans nécessiter un coût important de reconception de l'architecture. Economie visée : 450 millions de dollars sur la facture énergétique annuelle des Etats-Unis.

 

  • En retard mais c'est important, surtout après avoir vu ce film

 

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Il y a urgence

 

dimanche, 21 janvier 2007

Message in a bottle

J'ai beau avoir 40 ans, savoir quelques trucs de la vie, connaître un peu la nature humaine et cette espèce bizarre, en particulier, qui se trouve être les hommes ; et bien j'en découvre encore !

J'ai réalisé grâce à une amie, en couple depuis 16 ans avec son homme à elle que finalement, il y a certains principes de base qui m'avaient échappés. C'est amusant de découvrir au long d'une discussion qu'on se retrouve dans les mêmes impasses parfois... sauf qu'elle a trouvé les solutions pour arrondir les angles et s'en accomoder. Je vais donc en prendre de la graine et devoir changer quelque peu mon fusil d'épaule parce que j'ai pris conscience de choses qui peuvent paraître évidentes à d'autres mais pas à moi.

Donc il faut arrêter de penser que les hommes, par défaut, sont dotés d'intuition. Non, un homme (en général) pour qu'il comprenne il faut lui dire les choses. Par exemple, suggérer une idée de cadeau ne suffit pas : il suffit de dire simplement "j'aimerais bien changer de boucles d'oreilles de temps en temps, tiens celles-là elles sont super chouettes non ?" au lieu de penser benoîtement qu'il remarquera - forcément - qu'on porte toujours la même paire (... et donc qu'il prendra forcément l'initiative tôt ou tard de pallier au manque)

Et puis il ne remarquera pas forcément non plus qu'il n'y a plus de jus de fruit / de lait / (de choses lourdes à porter en général) et donc que, de lui-même, il arrivera le soir avec les bras chargés de ces choses si banales qui font que c'est confortable ! non : il suffit de dire "mon trésor, tu pourrais t'arrêter prendre ce qui manque ?" et là il se fera un plaisir de rentrer le soir avec les courses attendues.

Ou bien dire (voire répéter) "j'aimerais tant partir en WE tous les deux, loin de Paris" ne suffit pas ! il faut juste l'organiser, ce WE ; et ainsi (quand, par bonheur, il aura un WE sans boulot) ca sera cool de s'évader de Paname ensemble.

Finalement c'est basique. Dire simplement les choses au lieu d'attendre qu'il déduise de lui-même et capte le message à peine suggéré qu'on envoie, nous les femmes, en pensant logiquement que c'est reçu 5/5 en face. Non, l'homme est dans ses pensées (bien moins concrètes et réelles que nous, bien souvent). Donc il faut juste mettre sa fierté de côté, ne pas se sentir humiliée de demander, et ainsi finie la frustration ou les attentes vaines : tout est divinement clair !

Pas trop compliqué, il suffisait d'y penser.

Et maintenant que j'y pense il n'y a plus qu'à changer ! ^^

vendredi, 12 janvier 2007

'night

hop et une note de plus morte-née ! il suffit d'un trait de souris et d'un "enter" pour que la note disparaisse à tout jamais... ou revienne autrement un soir où je ne l'attends pas.

Pour l'heure bougie, cigarette et Air dans les oreilles, histoire d'aller dormir tranquillement.

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Bonne nuit les noctambules !

jeudi, 11 janvier 2007

Si loin...

Ton dernier coup de fil date d'il y a 24h et le temps me paraît si long... Je sais que tu as encore oublié ton chargeur ; je le sais, tu es comme ça. Avant je m'énervais, désormais j'en ris. Incorrigible tête en l'air !

Je ne peux pas te joindre et toi non plus. Une voix murmure à mon oreille "et si... ?" mais je me refuse à l'écouter. Je sais que tu n'es pas avec une autre. Je sais que je peux te faire confiance. Pourtant j'ai peur. C'est bête hein. Oui, je sais, idiot. J'entends ta voix me dire tout l'amour que tu me portes et je ne veux rien écouter d'autre. Tant de fois par le passé j'ai cru, jusqu'à me persuader que tu me mentais et que tu me trompais.

Et non. Jamais. Même malgré les ruptures. Jamais.

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Alors je ne dois pas avoir peur. Ni être jalouse. Je dois juste accepter le fait que malgré tous mes défauts tu m'aimes, et tu n'en désires pas d'autre. Même si juste en t'apercevant je sais que plus d'une peut flancher. Même si ton humour et tes regards peuvent dévaster. Même si je sais que certaines m'envient, je dois être convaincue que je suis capable d'être celle que tu as choisie.

Oui, notre amour est le plus fort. C'est tout ce qui compte...

Notre amour.

19:32 Publié dans Mon placard | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : blog, amour

mercredi, 10 janvier 2007

Flemmingite aïgue

En ce début d'année, c'est flemmardise à tous les étages. Rien à faire, le mois de janvier est un mois que je trouve long, trop long et j'attends juste qu'il passe, se termine et que le ciel s'éclaircisse, que les bourgeons apparaissent et qu'enfin je remise à la cave les gros pulls et les manteaux épais.

Tiens, il pleut sur la tour eiffel, ça ne change pas...

Tiens, je commence à trouver cet appart exigu

Tiens j'ai viré le sapin et les décos de noël

Comme une envie de renouveau, de changement, de choses qui bougent et qui avancent.

Même si je flippe toujours autant...

mercredi, 03 janvier 2007

Paradoxes en voeux

Celles et ceux qui me connaissent ne seront pas étonnés que je fasse encore une fois ma revêche en disant que les voeux de nouvel an, spa trop mon truc ; que janvier non plus et qu'à dire vrai mon désir d'ermitage qui s'amorçe aux alentours du 10 décembre se poursuit généralement jusque mi (voire fin) janvier. Enfin le 31 c'est la date limite pour les voeux mais ils sont généralement concentrés début janvier, disons dans les 10 premiers jours...

Il y a deux jours où je refuse de travailler dans l'année (hormis les congés réglementaires) : le 1er jour travaillé de janvier (à défaut de pouvoir m'octroyer tous les suivants) et celui de mon anniversaire. Je n'ai pas failli à la règle en espérant échapper au bisoutage obligatoire de toutes les personnes que je croise agrémenté d'un guilleret "bananétoumévoeux [...] et la santé hein, la santé surtout"

Pfff

Sur le lot allez, ca me fait plaisir de les souhaiter, sincèrement, à 3 ou 4 personnes grand maxi. Mais les bonnes manières m'empêchent de reculer en disant "rha pouah tu vas pas m'embrasser quand même ?" Non, cela ne se fait pas... Même si je dois réfréner le mouvement de recul, il FAUT que je sois forte, allez plus que ... 28 jours à tenir et on parlera d'autre chose.

Mais comme ici, dans mon antre, je suis chez moi (et un peu chez vous),
Comme, du coup, cela me fait plaisir d'avoir une pensée pour vous C&M, M., Jevli, Chris, Nathalie, Bluevalentine, Ancat, Trungpa, Lorenzo, Marc, Beside, Pyrome et tous ceux que j'oublie (ne m'en veuillez pas trop !), je vous souhaite, rien qu'à vous et de tout coeur

 

Une excellente année 2007

Avec du bonheur dedans,
Avec de la joie, des rires et de l'amitié,
Avec de l'amour tout plein partout,
Avec des sous par liasses histoire de ne pas s'en faire
Avec des bulles où vous vous direz "CA c'est chouette"
Avec des petits moments où vous aurez chaud au coeur
Avec des instants intattendus, des surprises
Pour vous et tous ceux que vous aimez...

Profitez de chaque moment, ne gardez que le plaisir et soyez heureux !

samedi, 23 décembre 2006

A l'origine

Une maison, des portes qui claquent. Un grand jardin et du monde... Toujours du monde qui rentre, qui sort, qui passe. Au milieu de tout ça mon regard de "petite dernière". C'est quoi cette drôle de famille ? Pourquoi on est si nombreux ? qui suis-je dans tout ce lot ?

Peut-être que cette nouvelle catégorie de mon blog m'aidera à revenir dans le passé, à retrouver des souvenirs, à remonter le fil du temps. J'ai, consciemment ou non, rejeté le passé très loin, au point de n'avoir pas de souvenirs précis. Juste quelques flashes. Au point d'avoir tout jeté aux oubliettes, comme par honte. Malgré tout je n'ai pas eu une enfance malheureuse, loin de là. Alors pourquoi ce déni du passé ? Pourquoi cette volonté farouche de laisser les photos écornées le plus loin possible de moi ?

C'est comme si ma famille était un poids.

Comme si mon étiquette de 14ème était une tare.

On ne choisit pas ses parents, on ne choisit pas sa famille. Pourtant elle fait partie de moi comme je fais partie d'elle. Je n'ai pas choisi de naître. J'en ai longtemps voulu à mes parents de cette décision. Il serait peut-être temps d'apprivoiser le passé et de l'intégrer à ce que je suis, aujourd'hui. Remettre les choses à leur place et tenter le flashback de façon impartiale.

 

à suivre...

19:33 Publié dans Souvenirs lointains | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : blog

mercredi, 13 décembre 2006

Secrets du soir

J'entends sa voix et je vois ses mimiques. Il me fait éclater de rire, on rit des mêmes bêtises, des mêmes délires, et c'est bon ! Je voudrais pouvoir le regarder, le toucher. "quand on habitera ensemble..." On en parle, on attend, rêves possibles auxquels l'on ne veut pas trop croire, par superstition. Imaginer notre nid, oser le désirer.

Cela me fait toujours aussi peur.
Mais, je ne sais pas pourquoi, avec lui cela me paraît possible.
Avec lui et, je le sais : avec aucun autre
J'angoisse et il me rassure
J'appréhende et il m'apaise. Il est si serein.

On a le temps, encore, de toute façon !...

dimanche, 10 décembre 2006

Too fast, too furious

medium_271872.2.jpgJe suis en colère.
Je sens que ça monte, depuis quelques jours.
Ca enfle et je retiens.
Je garde au chaud, je mijote.
Si seulement je savais pourquoi...

Et puis un rien et ça explose.
Le côté obscur prend le dessus.
Je vocifère, je crie,
Et juste après je m'en veux.

Je sais que cela ne sert à rien
Mais je n'arrive pas à contrôler
Rage, culpabilité, puis rage puis culpabilité

Cercle infernal qui m'emporte dans son tourbillon.

Et cela fait partie de moi
Et je dois vivre avec ce côté de moi que je hais.

Si seulement j'en connaissais la véritable origine...