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mercredi, 23 mai 2007

Bof

Aujourd'hui, on dira que c'est un jour " sans "

Qui rime avec

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Etouffement

 

mercredi, 09 mai 2007

Inconsciences

Ce ciné était planifié... dans les grandes lignes. Rentrant aujourd'hui, j'avais prévu ça demain soir... et autre chose jeudi. Tiens, justement : jeudi c'est son anniversaire. Ca doit être pour cela qu'inconsciemment j'ai prévu autre chose ?!...

Et puis voilà que demain, il n'est pas disponible...

J'aurais pû annuler ma soirée de jeudi soir... mais je ne l'ai pas fait.

Tout d'abord parce que je suis très attachée à laisser faire le destin. Si les choses doivent se faire, elles se font naturellement. A quoi bon aller annuler par-ci, reprogrammer par-là alors que les choses sont prévues ainsi ? Et puis ensuite je crois que quelque part en moi, je refuse de passer la soirée de son anniversaire avec lui. C'est très symbolique tout ça. Un peu trop symbolique pour moi. J'ai envoyé une carte, ca suffit bien. Point trop n'en faut...

Et puis si ce ciné c'était fait ce soir-là, il aurait fallu quoi aussi ? le petit cadeau dans ma poche ? Non, vraiment je ne le sens pas le truc !

Serait-ce une vengeance inconsciente de mon propre anniversaire ?

Bon : Tout est parfait.

Alors pourquoi suis-je déjà en train de culpabiliser ? Il va penser Dieu sait quoi : pour que j'aie d'autres priorités que lui le soir de son anniversaire, c'est que ca doit être rudement important ! (même pas en plus !).

Il va passer la soirée tout seul, comme un brave. Pas cool. Mais bon. Zut. Ce n'est que mon ex à la fin !

 

[Dans mes noreilles... Gabriel RIOS - Angelhead]

Ca faut pas !

Aujourd'hui j'ai rencontré un gros boss de m@bwatt. Un mec bien, décidé, qui ne se la joue pas mais sait prendre des décisions. Je quitte le rendez-vous, je colle l'ipod sur mes oreilles et je file droit devant. Tout à coup, je sens une présence derrière moi. Le pauvre m'appelait depuis 100 mètres en me courant après (je marche vite généralement), et il était rouge écarlate.

Je me confonds en excuses et on avance vers le bureau d'un autre big big chef (il n'y a que des chefs chez nous - sauf moi !). Nous entrons dans l'open space communément nommé le plateau Direction. La galanterie voulant que les femmes passent devant (hormis en montant les escaliers, oui messieurs, ne me remerciez pas pour l'instant d'éducation culturelle), j'avance et là, je sens mon pantacourt qui est trop bas. D'un geste nonchalant mais visant bien sa cible, j'attrappe ce que je pense être la ceinture dudit pantacourt et je tire un coup sec pour le remonter jusqu'à la taille...

Seulement ce n'est pas ça que j'ai attrapé, mais mon string qui, du coup dépasse largement du pantacourt alors que je cherchais justement l'inverse. Ha ha, pas facile de la jouer discrète quand cela fait 5 minutes que j'ai les mains emmêlées dans les vêtements et surtout cherchant à cacher le plus possible (bah oui parce que j'ai jugé que redescendre le string n'était pas la manipulation la plus rapide et discrète qu'il soit.

Je me suis sentie rougir à mon tour. Heureusement qu'il était toujours derrière et je préfère ne pas savoir où ses yeux étaient posés à cet instant-là... Sûrement sur ma longue chevelure, hein ?! oui oui on va dire ça.

Moralité, éviter de se resaper en marchant et en parlant sérieusement boulot avec un inconnu...

mardi, 03 avril 2007

24h en overdose

La morphine apaise quelque peu mes douleurs et me permet de goûter de nouveau à la vie... Bien que restant encore allongée une grande partie de mes journées, j'ai tout de même la force suffisante pour emmener et rechercher les enfants à l'école sans être pliée en deux et marcher comme un escargot (dixit les enfants).

Le reste du temps, je le passe devant ma télé à regarder 24H (chrono). Série que je n'avais jusque-là jamais regardée mais dont j'avais beaucoup entendu parler... Et c'est devenu une addiction. J'ai enchaîné les deux premières saisons sans même m'en rendre compte et c'est une chance de pouvoir regarder tous les épisodes sans avoir à attendre une semaine entre chaque.

Bon, certes, c'est très "god bless america" et "USA saved the world" (...once more). Mais Kiefer Sutherland est bluffant, on le voudrait pour mari, gendre ou père, on ne sait pas trop mais on l'adopte, c'est obligé. Et puis c'est stressant, chaque épisode pourrait faire un mini film. Voilà donc une occupation qui fait passer mes journées en un clin d'oeil. Allez, je file, la saison 3 m'attend !

jeudi, 29 mars 2007

Confusion

Je dors mal. Depuis plusieurs nuits je cherche le sommeil et lorsqu'il s'échappe, je tourne en rond. Je sais bien depuis quand. Depuis ses mails, depuis ma réponse et puis encore ses mails qui m'obsèdent. Je les relis, à des heures différentes, histoire de voir si avec mon changement d'humeur j'aborde les choses différemment ; mais rien n'y fait.

L'obsession avance... Et si ? Et si c'était moi qui me trompais, moi qui étais dans l'erreur, moi qui craignais d'avancer ?

Lui semble si sûr de son Amour, un vrai roc. Et je suis là, avec mes doutes misérables, mes questions auxquelles il répond avec un aplomb désarmant. Les arguments qu'il lève d'un amour répété à l'infini...

Et je sais, tout au fond de moi, je SAIS l'amour que je ressens pour lui. Je sais que c'est inexplicable, cette espèce de conviction que j'ai eue tout d'un coup cet été que lui et moi c'était l'évidence, c'était l'Amour avec un A majuscule. C'est loin et c'est si proche à la fois. Une rencontre, une conviction qui éclate d'un coup, une évidence. Jamais je n'ai aimé quelqu'un comme cela. Jamais je n'ai eu cette certitude, jamais je n'ai ressenti à ce point des sentiments aussi puissants pour quelqu'un, jamais on ne m'as aimée de cette façon ; de la façon que j'attendais depuis toujours... Jamais ! ... jusqu'à lui.

Comme me disait A. "en fait, si je résume : tu l'aimes, il t'aime mais vous vous faites du mal... heu ?? pourquoi ?"

C'est d'un tel bon sens ! Oui, pourquoi ? Pourquoi ? Suis-je donc si intransigeante, si dure, si extrême que je ne puisse lui pardonner ce besoin qu'il a eu d'être seul pour se reconstuire, se retrouver ? Ou bien est-ce plutôt la peur qui me guide et que je cherche à fuir ?

Notre histoire est inachevée et nous le savons tous les deux. Peut-être est-ce juste cette sensation de frustration qui nous pousse l'un vers l'autre, tout le temps, irrémédiablement ? Ou bien c'est la soif commune de continuer notre histoire parce que l'un sans l'autre on se sent mal, incomplets et mal-heureux.

Je lui ai demandé d'attendre, parce que c'est confus en moi, parce que les choses ne sont pas dans la bonne case et que j'en ai perdu mes repères. Le seul repère fixe, mon point d'ancrage, mon phare, c'est ce que je ressens lorsque je pense à lui et à notre Amour passé. C'est cette envie d'être de nouveau dans ses bras. C'est ce désir intense de le toucher, de le regarder et de pouvoir l'aimer à nouveau, sans barrage, sans retenue, sans entrave.

Oui : je l'aime, il m'aime alors pourquoi tout compliquer ? Et si on (se) laissait juste aller ?...

mardi, 27 mars 2007

Lettre à une petite conne

Pendant longtemps, tu t'es servie de moi. M'appelant n'importe quand, faisant fi de mes propres obligations, pour me pleurer dans l'oreille toutes les misères que le monde entier s'acharnait à te faire subir.
Pauvre petite chérie, noyée dans un verre d'eau, que j'ai consolée patiemment, maintes et maintes fois...

Et puis j'en ai eu marre ! c'est vrai quoi, je ne suis pas le bureau des pleurs alors j'ai esquivé, je me suis enfuie de cette "amitié" à sens unique. J'en ai eu assez de tes larmoiements et de ta déprime permanente, ras le bol de devoir te remonter le moral, te laisser chouiner sur mon épaule et te réconforter à tout bouts de champs pour des histoires à deux balles.

Oui marre des gens comme toi qui cherchent les problèmes et lorsqu'ils les trouvent s'étonnent des conséquences.

Tu m'as vue fuir, tu m'as relancée, j'ai détalé vite fait et tu n'as pas compris... ca fait pourtant un bon moment que je t'ai rayée de ma vie, jartée en douceur pour ne pas avoir à te cracher en pleine face que tu es non seulement saoulante mais en plus sacrément pot de colle.

Maintenant tu es partie bien loin et j'ai soupiré d'aise et de soulagement. Entre temps tu as tenté de monter de vrais amis contre moi, ca n'a pas marché... Alors aujourd'hui tu utilises un autre biais pour essayer de m'atteindre mais ne t'inquiète pas, je me fous de tes mots, de ce que tu penses de moi et de tes états d'âme. Tu n'es qu'une gosse qui cherche à se faire passer pour une adulte. Une sale gamine qui se sert de tout le monde en guise de béquille à tes propres malaises.

Je ne suis ni ton psy, ni ta mère et encore moins ta soeur. Je n'ai jamais non plus été ton amie. J'étais juste une oreille quand tu en as eu besoin. Maintenant tu n'es plus rien qu'une fourmi perdue tout là bas et dont je me contrefous. Tu n'as rien compris au film et t'es trop conne pour comprendre toute seule que si les gens finissent toujours par te fuir c'est qu'il y a une bonne raison...

Un jour viendra où il faudra tout de même faire face à la réalité : quand on a des problèmes en permanence avec tout le monde c'est peut etre aussi parce qu'on ne se comporte pas toujours comme il le faudrait... Si tu es frustrée, mal dans ta peau et dans ta vie, ce n'est pas aux autres de fournir des solutions et des réponses mais bien à toi seule.

lundi, 26 mars 2007

Grande Classe !

Pas besoin de l'ouvrir cette enveloppe, l'écriture je la connais désormais, et le cachet de la poste faisant foi, il ne l'a pas déposée sur mon paillasson celle-ci !

J'ai failli jeter direct à la poubelle, je m'attendais au contenu, à peu de choses près.

En fait il a opté pour me retourner l'album-photo-cadeau, offert en souvenir il y a quelques mois. Il n'est pas entier, il a tout de même gardé les photos de lui qui le mettaient en valeur (faut pas pousser non plus), donc il a arraché et commenté chaque photo, à grands coups de feutre rageur, le tout accompagné de mes lettres manuscrites soigneusement surlignées et commentées elles aussi.

Je n'ai rien lu, j'ai tout remis dans l'enveloppe et hop, à la benne où ce fatras trouve sa bonne place.

On dirait un pré-ado en crise, et tout compte-fait, c'est bien ce qu'il est.

... et pour ce qui est de la classe, bravo champion t'as tout compris : tu es un vrai tombeur qui sait parler aux femmes, toi, tu sais ?!

 

jeudi, 22 mars 2007

End

Bon et bien voilà...

La morale de l'histoire c'est que parfois, dans la vie, l'amour ne suffit pas.

J'ai été impuissante à le sortir de son trou,
L'amour avait beau être là, il n'était sûrement pas assez fort pour dépasser tout cela.

J'ai toujours pensé que l'amour était quoiqu'il arrive, le plus fort... "dans la peine et dans la joie, dans l'adversité comme dans le bonheur..." Ici, cela n'a pas été le cas. J'ai eu beau le soutenir, être patiente, l'écouter, l'encourager, lui remonter le moral : rien n'y a fait, il ne peut pas être heureux, pas plus avec moi que sans moi ; et le reste ne m'appartient pas.

C'est à lui de mener ses propres luttes, et je n'ai pas ma place dans tout ça...

J'ai le mérite d'y avoir cru... lui aussi je pense...

Cette fois-ci c'est terminé,
Pour de bon.

[Solo...]

lundi, 19 mars 2007

Descente

Moral en vrac et impossible pour moi de tenir plus d'une demi-heure debout ou assise. Jamais souffert comme ça, et j'enrage contre ce corps qui ne veut pas suivre. J'appréhende la suite, le retour de mes enfants. Comment gérer si je ne peux même pas marcher ? J'ai trop mal pour l'instant. Il n'y a qu'allongée que je tiens le choc et que je retrouve après quelques heures la force nécessaire pour me traîner jusqu'à la télé, histoire d'alterner.

Je me sens tellement impuissante. Pour la 1ère fois de ma vie je constate que la volonté ne suffit plus. Je subis et je n'ai aucun moyen d'action. Je ne peux même pas aller chez le médecin, c'est lui qui va être obligé de venir à moi.

Pourquoi j'ai honte d'être affaiblie ?

Pourquoi m'est-il impossible de demander de l'aide ?

De toute façon je dois gérer, je ne sais pas encore comment mais il a bien falloir que je gère. Putain de moral qui se barre lui aussi.

Marre, marre, mal...

vendredi, 16 mars 2007

Lapin de Cat.1

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J'en connais un qui, ce soir, va attendre une belle brunette de 35 ans pendant longtemps... Et oui, elle est gentille, Bullet, mais il ne faut pas non plus la prendre pour la blonde de service... J'ai donc retrouvé le beau parleur qui a disparu comme par enchantement après plusieurs coups de fil prometteurs et... à mon tour de me déguiser !

C'est tellement simple, de s'inventer une autre vie, une autre identité, un autre style ! pour peu que l'on connaisse un tant soit peu l'interlocuteur, c'est un jeu d'enfant que de le rouler dans la farine et lui faire ce qu'il fait continuellement à d'autres. Seul le prénom a changé, mais pas son numéro de téléphone...

Je serais vraiment vacharde, tiens je le mettrais ici, son numéro, juste histoire de m'amuser encore un peu... Mais non, je n'ai pas un brin de cruauté en moi et je ne suis même pas fière du rendez-vous factice que je lui ai donné.

Je savoure simplement ma vengeance. Pour la 1ère fois de ma vie j'ai rendu coup pour coup et c'est vrai que cela a quelquechose de jouissif. Pour sûr, il recommencera aussitôt, pour sûr il ne se remettra même pas en cause, pour sûr la faute sera à la brunette imaginaire, qui ne savait pas ce qu'elle voulait ; mais j'ose croire que cela refroidira un peu ses élans de "sincérité, honnêteté, générosité, dévouement, prévenance" (et j'en passe) dont il se targue d'être à tout bout de phrase.

Il faudrait que nous, les femmes, dites du sexe faible, soyons un peu plus comme eux... Ainsi peut-être que les hommes mariés, se voyant jetés en permanence arrêteraient de séduire tout ce qui passe... et peut-être aussi que les beaux parleurs réviseraient leur langage ?

Laissez-moi donc rêver, pas vrai ?

samedi, 10 février 2007

Soupir

C'est pas possible de l'aimer comme ça...

Ca me dépasse encore une fois.

Malgré tout

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Je t'attends...

 

 

PS : rien à voir mais M. fais un tour sur ma radio blog y'a un truc pour toi, comme une excuse ;o)) et l'album est SUPER!!

dimanche, 21 janvier 2007

Message in a bottle

J'ai beau avoir 40 ans, savoir quelques trucs de la vie, connaître un peu la nature humaine et cette espèce bizarre, en particulier, qui se trouve être les hommes ; et bien j'en découvre encore !

J'ai réalisé grâce à une amie, en couple depuis 16 ans avec son homme à elle que finalement, il y a certains principes de base qui m'avaient échappés. C'est amusant de découvrir au long d'une discussion qu'on se retrouve dans les mêmes impasses parfois... sauf qu'elle a trouvé les solutions pour arrondir les angles et s'en accomoder. Je vais donc en prendre de la graine et devoir changer quelque peu mon fusil d'épaule parce que j'ai pris conscience de choses qui peuvent paraître évidentes à d'autres mais pas à moi.

Donc il faut arrêter de penser que les hommes, par défaut, sont dotés d'intuition. Non, un homme (en général) pour qu'il comprenne il faut lui dire les choses. Par exemple, suggérer une idée de cadeau ne suffit pas : il suffit de dire simplement "j'aimerais bien changer de boucles d'oreilles de temps en temps, tiens celles-là elles sont super chouettes non ?" au lieu de penser benoîtement qu'il remarquera - forcément - qu'on porte toujours la même paire (... et donc qu'il prendra forcément l'initiative tôt ou tard de pallier au manque)

Et puis il ne remarquera pas forcément non plus qu'il n'y a plus de jus de fruit / de lait / (de choses lourdes à porter en général) et donc que, de lui-même, il arrivera le soir avec les bras chargés de ces choses si banales qui font que c'est confortable ! non : il suffit de dire "mon trésor, tu pourrais t'arrêter prendre ce qui manque ?" et là il se fera un plaisir de rentrer le soir avec les courses attendues.

Ou bien dire (voire répéter) "j'aimerais tant partir en WE tous les deux, loin de Paris" ne suffit pas ! il faut juste l'organiser, ce WE ; et ainsi (quand, par bonheur, il aura un WE sans boulot) ca sera cool de s'évader de Paname ensemble.

Finalement c'est basique. Dire simplement les choses au lieu d'attendre qu'il déduise de lui-même et capte le message à peine suggéré qu'on envoie, nous les femmes, en pensant logiquement que c'est reçu 5/5 en face. Non, l'homme est dans ses pensées (bien moins concrètes et réelles que nous, bien souvent). Donc il faut juste mettre sa fierté de côté, ne pas se sentir humiliée de demander, et ainsi finie la frustration ou les attentes vaines : tout est divinement clair !

Pas trop compliqué, il suffisait d'y penser.

Et maintenant que j'y pense il n'y a plus qu'à changer ! ^^

jeudi, 11 janvier 2007

Si loin...

Ton dernier coup de fil date d'il y a 24h et le temps me paraît si long... Je sais que tu as encore oublié ton chargeur ; je le sais, tu es comme ça. Avant je m'énervais, désormais j'en ris. Incorrigible tête en l'air !

Je ne peux pas te joindre et toi non plus. Une voix murmure à mon oreille "et si... ?" mais je me refuse à l'écouter. Je sais que tu n'es pas avec une autre. Je sais que je peux te faire confiance. Pourtant j'ai peur. C'est bête hein. Oui, je sais, idiot. J'entends ta voix me dire tout l'amour que tu me portes et je ne veux rien écouter d'autre. Tant de fois par le passé j'ai cru, jusqu'à me persuader que tu me mentais et que tu me trompais.

Et non. Jamais. Même malgré les ruptures. Jamais.

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Alors je ne dois pas avoir peur. Ni être jalouse. Je dois juste accepter le fait que malgré tous mes défauts tu m'aimes, et tu n'en désires pas d'autre. Même si juste en t'apercevant je sais que plus d'une peut flancher. Même si ton humour et tes regards peuvent dévaster. Même si je sais que certaines m'envient, je dois être convaincue que je suis capable d'être celle que tu as choisie.

Oui, notre amour est le plus fort. C'est tout ce qui compte...

Notre amour.

19:32 Publié dans Mon placard | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : blog, amour

mardi, 28 novembre 2006

Vivement le WE !

Dans l'absolu il faudrait que je dorme un peu plus... cela m'éviterait d'avoir la tête dans le seau toute la matinée et de commencer par un "merde !" en apercevant sur mon bureau un téléphone portable neuf négligemment laissé là hier soir lorsque je suis partie en catastrophe. Ensuite, ça s'enchaîne : le pc, éteint la veille est en mode "je refuse de m'éteindre mais si t'as quand même envie clique là !" ben non je n'ai plus envie de cliquer là vu que maintenant c'est le matin ! seulement je n'ai pas le choix, logique billgatesienne oblige tu dois éteindre pour allumer. Je m'exécute !...

Mais là l'écran se voile d'une ombre étrange... Je demande à mon collègue de vérifier si c'est ma vue qui baisse ou bien si c'est l'écran qui me lâche... Pas le temps... le téléphone sonne, évidemment un truc qui ne marche pas sur le net. Ok j'aimerais bien que mon poste bootasse et que mon écran s'éclairâsse, mais l'histoire semble mal engagée... (j'voudrais ma couette là tout de suite !!)

Avant que le téléphone ne resonne, je rebascule sur la boîte vocale. Ouf, pause café... Il ne faut pas pousser non plus ! la pause café c'est sacré et c'est certain : après ça ira mieux, la vie sera forcément plus claire !

Mais un café, même en mug de 3 litres ne suffit pas. Allez on va enchaîner sur la pause clope et passer au distributeur. Seulement le distributeur m'insulte d'un "OFF 3" mençant. Grrr bon alors ce sera pause clope sans réchauffant (bon sang, qu'il fait frisquet ce matin !) et je vois mon collègue débarquer avec le café fumant à la main "Ben !! mé heu !!" " bah suffit juste d'un peu de doigté ma chère, une petite tape bien placée et le distributeur m'obéit (à moi !)"

Ok en remontant je n'en prendrai pas 1 mais 2 alors... na !

2ème passage au sous-sol et le "OFF 3" est toujours affiché. J'ai caressé, tapoté, tapé, cogné, et filé de grands coups de latte à ce foutu distributeur... en vain.

Là j'ai réalisé que mon collègue s'était foutu de moi. Là j'ai compris que je n'étais toujours pas réveillée.
Là je sais qu'il faut vite que la journée s'achève avant que je ne tombe dans le coma...

Cafééééé !!!

mardi, 21 novembre 2006

Déshabillez-vous

J'aime bien les dessous sexy. J'aime en porter, et aussi qu'on me les enlève.

Par contre, j'aime moins quand je vois un post-it rose "visite médicale annuelle" collé sur mon écran, et que je m'aperçois qu'il est trop tard pour aller me changer, et qu'il va falloir que je montre ça au médecin du travail...

Bon, la "médecine du travail" chez nous, c'est une femme... Ouf, ça va, allez faudra la jouer super naturelle, genre "ciel mais c'est mon sein ! mais qu'est-ce ?! ", façon crédible à mort et " Ouf même pas vu !" sans être rouge écarlate si possible.

S'il s'était agi d'un homme alors là... j'aurais peut-être oublié (une 2ème fois !) le rendez-vous annuel...

Je veux bien les montrer voire les enlever, mes petits dessous, surtout dans l'intimité... Ceux-là passeraient, à la limite, chez un pro et un seul : mon gynéco (oui je sais c'est paradoxal mais j'ai le droit zut d'abord ! c'est le seul qui fait ça tellement naturellement qu'on ne remarque même plus son regard !). Les autres kinés et consors ils ont à peine droit d'aperçevoir des dessous très sages, très discrets et totalement passe-partout... (quand je percute au petit matin, et que j'enfile la tenue adéquate...)

Sinon, ca fait un peu allumeuse, non ? Et je n'en suis pas une. C'est bête hein. Sûrement ma maman qui m'a inculqué ça dans ma jeunesse... alors je préfère me dire que c'est l'idée de payer pour se montrer qui est la vraie raison ! :D

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