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mercredi, 28 mars 2007

Peur(s)

C'était couru d'avance...

Un mail de plus, un mail de trop et j'ai balancé mon scud avec (un peu) la mort dans l'âme et (surtout) le souhait que cela mette un point final aux échanges à sens unique.

2 jours.

Il a tenu 2 jours et c'est reparti.

Je me sens épuisée. Je n'ai pas envie d'argumenter ni d'expliciter. Il me connaît trop. Il sait mes points faibles, il connaît mon talon d'Achille. Il martèle son amour plus fort que tout, encore, et encore. Et je n'arrive plus à lutter." je t'aime et je t'aimerai toujours, même si je ne peux pas t'obliger à m'aimer aussi. Toutefois j'aimerais quand même que tu me l'écrive noir sur blanc : je ne t'aime plus, dégage de ma vie ! " Je suis incapable de cela et il le sait...

Je me sens faible face à lui. Je sens les fissures qui se dessinent en moi. Il me parle de fierté. Tiens, ça faisait longtemps. Oui cela doit faire partie de mes défauts. Ce besoin, cette nécessité de ne jamais rien devoir à personne, quel qu'il soit. Cette urgence permanente à ne pas vouloir m'appuyer sur quiconque. Parce qu'on est seul dans la vie, et s'affaiblir au point de compter sur l'autre, c'est se mettre en danger. Et je ne le veux plus. Je ne veux pas risquer et me planter. Je joue les fières mais en-dedans je suis morte de trouille, parfois.

Et si j'avais dit oui ? Si j'avais pris un appartement avec lui et qu'il me lâche ? C'est moi, c'est ma propre famille qui serait alors en danger et je ne le peux pas. Je serais seule, je dirais banco ! mais avec mes enfants je ne joue plus. Terminé, game over.

Repartir avec lui c'est re-prendre ce risque. Il me promet, me jure qu'il a changé, que c'est un autre homme avec pour seule différence un amour plus fort et plus affirmé pour moi.

Mais j'ai peur.
je voudrais que le temps s'arrête et pouvoir enfin respirer. Que le temps passe sans moi et qu'il me choisisse pour de bon, pas pour de fausses raisons ou par crainte d'être seul.

Je voudrais disparaître, un ou deux ans et voir ce qu'il devient.

J'en ai marre.

 

lundi, 26 mars 2007

Occupations

Je n'ai encore jamais de ma vie été contrainte ainsi à garder le lit, et c'est une rude expérience pour moi qui ai en permanence un besoin irrepressible de bouger. Alors quoi faire pour m'occuper, toutes ces longues journées ?

Bouquiner, regarder la télé (vive la télé sur l'ordi !), écluser toutes les séries possibles, des 4400 à day break en passant par Veronica Mars ; les incontournables prison break, heroes, grey's anatomy ou lost étant en panne de suite...

Piquer la DS des enfants pour jouer à Kirby ou zoo keeper...

Grignoter un morceau de chocolat à l'orange, pas assez faim pour plus et pas la force de cuisiner de toute façon.

Quelques cigarettes, de la musique et tenter de se lever histoire "de voir"... qu'au bout d'une demi-heure c'est la cata et qu'il va falloir une heure de position allongée pour que la douleur s'apaise un peu.

Allez, on garde le moral, on se dit que demain ca sera forcément mieux qu'aujourd'hui, même si les signes tangibles ne sont pas vraiment décelables à l'heure qu'il est.

Repos, repos qu'ils disaient... Argh.

 

vendredi, 23 mars 2007

Down

Charmante journée que celle-ci... Je le sentais en me levant, que mon dos ne répondait plus présent... Mais pas le choix, il fallait emmener la grande à l'école. J'ai donc accompli ma mission, et me suis rendue au boulot en espérant un peu que les médicaments feraient effet...

Que nenni. J'ai tenu une heure et impossible de marcher. Au boulot ca ne plaisante pas. J'ai donc eu droit à la descente des escaliers en chaise à porteur (merci les ascenseurs en panne), puis aux services des pompiers qui m'ont, avec gentillesse et humour enfermée dans une coque gonflable et direction les urgences.

Je n'avais jamais, jusqu'alors, goûté aux urgences. Et je savais que l'attente y était longue. Mais là, tout de même... 4h30 ca a vraiment été très très long. J'ai bien failli me sauver, si seulement je n'avais pas eu si mal ; mais là impossible de me décoller du brancard alors j'ai compté les dalles du plafond et regardé défiler les éclopés de la journée. Heureusement que mon Ipod est toujours sur moi, au moins, cela a occupé un peu de temps.

Au final, c'est mon lumbago qui se rappelle à son bon souvenir. Le traitement de cheval qu'on m'a octroyé ne me semble pas faire grand effet. Je ne suis bien qu'à l'horizontale, alors je vous laisse là car je ne tiens déjà plus.

Bon WE à vous quand même !

lundi, 19 mars 2007

Fin de ma radioblog

" Blogmusik.net et RadioBlogClub ont été fermés à la demande des ayants droit. Le premier, s'il n'hébergeait aucun contenu illégal, en donnait néanmoins accès en intégrant à sa plate-forme les fichiers audio disponibles sur le web. C'est pourquoi la Sacem, la SDRM, la Sesam et la SPPF ont adressé une mise en demeure au responsable du site pour lui demander d'arrêter d'exploiter de façon illicite des œuvres et des enregistrements illégaux. Ils ont également fait pression sur son hébergeur pour fermer le site, en invoquant la LCEN (loi pour la confiance dans l'économie numérique). Le second proposait aux bloggeurs un module pour diffuser en streaming de la musique sur leur site. Les ayants droit se félicitent de la fermeture de ces deux sites, en déclarant "poursuivre leurs efforts afin de permettre aux services musicaux légaux en ligne de se développer". Oui, seulement voilà : ces sites étaient en cours de négociation avec la SACEM, mais les discussions s'enlisaient car la somme demandée (8 % du chiffre d'affaires) était jugée trop importante... Une bonne manière de clore (définitivement) les discussions... "

... dont acte... tant pis pour les mélomanes qui aimaient partager la musique, on l'écoutera chacun chez soi, et vive l'internet libre et gratuit !!

 

Extrait de la newsletteronline n°337 du 18 mars 2007

jeudi, 15 mars 2007

Allô Max ?

J’ai commencé à lire « les hommes viennent de Mars, les femmes de Vénus ». Je ne compte pas y apprendre des grandes choses, mais peut-être y trouver quelques explications sur, par exemple, ce phénomène très répandu chez l’être mâle, à savoir le mode « silence radio » qui s’enclenche parfois sans que l’on sache le pourquoi du comment ; sans explication logique, sans raison apparente.

Devant la multiplicité des exemples au fur et à mesure que j’avance dans la vie, j’essaie de décrypter et de comprendre, sans encore y être arrivée.

Au début, on se dit « j’ai dû dire un truc la dernière fois qui l’a bloqué… » mais après vérification : même pas ! (dans les ¾ du temps, le « je ne rappelle pas car je suis vexé » cesse aussitôt que l’être mâle dépasse les 30 ans d’âge, sinon c’est souvent qu’il a un léger problème de maturité), J'ai constaté que finalement rien de litigieux n’était resté en suspens…

Ensuite on se dit « il dû (encore) oublier ! » certes, les êtres mâles ont une mémoire bien plus sélective que les êtres femelles et ce genre de « détail » passe souvent à la trappe, dont acte. S’il oublie de rappeler, ce n’est jamais bon signe, n’est-ce pas mesdames ?

On se dit aussi qu’il est débordé de travail, le pauvre… trop sollicité pour avoir ne serait-ce que 2 minutes pour dire « je te rappelle comme prévu ». D’ailleurs mon étude conclut que c’est l’argument premier qui est avancé comme excuse. Facile, pratique, invérifiable : LA raison idéale, implacable mais hélas tellement galvaudée de nos jours que si l’on peut y croire au début, l’argument perd de son essence avec le temps…

Il reste enfin l’être mâle-type qui dit qu’il rappellera comme s’il disait « il fait beau aujourd’hui ! », une façon de parler sans même réaliser qu’il déclenche chez l’être femelle une réaction immédiate d’attente, (oui, oui le téléphone à peine raccroché !). Un genre de comportement totalement inconscient de sa part, qui engendrera par la suite une poussée d’urticaire chez la femelle, ainsi que des ruades et autres soufflements de fumée par les narines. Là, le mâle ouvrira de grands yeux et ne comprendra réellement pas ce qu’il a pu commettre comme impair.

Bref, voilà le comportement-type qui me laisse pantoise... Pour moi, cela relève d’un certain manque de correction, d’une forme de lâcheté et d’une dose de flemme qui, loin de me séduire, me donne une envie irrépressible de tourner les talons.

A bon entendeur…

dimanche, 11 mars 2007

Separated lives

Il est venu. Il savait avant que je ne parle. Il a approuvé.

J'ai fait la brave, toujours paraître forte.

Il m'a serrée fort contre lui.

J'ai fait pareil.

Une dernière fois.

"Sois heureuse"

"Ne disparais pas complètement de ma vie..."

Les larmes des deux côtés qui débordent des yeux.

"File"

Refermer la porte sur lui

 

Knock

Out

 

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samedi, 10 mars 2007

[.../...]

Le rendez-vous est pris.

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Paradoxal d'avoir un rendez-vous pour une rupture. Mais c'est ainsi.

Viendra-t-il ou pas ? Sera-t-il passif et résigné ou battant et obstiné ?

J'espère qu'il viendra, qu'il affrontera en face et qu'il acceptera les choses telles qu'elles sont. Je pense qu'il a très bien compris, par mon silence, ce qu'il en était. Il se doute qu'il vient récupérer ses affaires mais j'aurais aimé le garder comme ami et là je pense qu'il risque de ne pas être d'accord...

Pourvu qu'il ne me jette pas à la figure le bracelet de St Valentin, ca sera déjà pas mal.

lundi, 05 mars 2007

Samedi

J'aime bien, le WE, prendre mon temps et regarder en dégustant ma ricoré matinale, un petit film. Ce matin, c'était "comme t'y es belle". Un cliché un peu exagéré de la communauté juive au travers de 4 femmes assez semblables.

Et voilà que je me suis mise à pleurer comme une madeleine, juste parce que comme à tous les coups, quand on les voit tomber amoureux là, sous nos yeux et bien il n'y a rien à faire... je craque.

Juste pour ça ? Peut-être pas tout à fait. Le sentiment aussi que j'étais dans le film, moi aussi, il n'y a pas si longtemps et que j'y ai goûté, je l'ai frôlé ce bonheur... et ça laisse un goût drôlement amer.

 

Après, je peux toujours me dire que c'est du gâchis, que c'était peine perdue et que je le sentais, que j'ai été bien conne d'y croire et que, tout de même, il est bien bête de nous faire rater ça... mais cela ne sert strictement à rien. Alors autant chasser ces pensées et sortir...

Bon WE à vous, accros d'internet !

mardi, 27 février 2007

Ô temps suspens ton vol...

J'ai déjà vécu cette sensation... Cela me rappelle de mauvais souvenirs. Savoir que l'on s'en va, que c'est fini et constater que l'autre ne l'a pas encore compris.

Avoir déjà passé du temps à y penser, y repenser
Avoir anticipé sur la diversité possible de ses réactions
Avoir imaginé le pire ou le meilleur.

Et se répéter sans fin qu'il va falloir lui dire...

Là j'ai choisi : pas au téléphone.
Pas non plus comme les autres fois, à la sauvette ou d'un coup de tête, non.

Là je veux l'avoir en face et lui faire mesurer l'impossibilité de la suite. Eclaircir ses doutes ; répondre, s'il le faut encore, à ses questions pour pouvoir tourner proprement la page et qu'il sache qu'il n'est pas utile qu'il revienne. Qu'il comprenne que cette fois-ci c'est vraiment la dernière, l'ultime, la vraie.

Je suis en mode silencieux depuis plusieurs jours...
Je ne l'appelle plus, pour qu'il réalise petit à petit
Qu'il ait moins mal le jour J
Qu'il s'approprie peu à peu l'idée.

Je n'ai pas envie de le faire souffrir, ou de le haïr.
Mais il ne devra pas me retenir

 

Plus j'apprends à quitter et moins j'ai goût à le faire.

vendredi, 23 février 2007

R.I.P. St Valentin

[Ou la chronique d'une mort annoncée...]

Il aurait juste suffit que tu troques ton pull troué contre ce col roulé qui me plaît tant...
Il aurait juste suffit que tu remarques ma nouvelle jupe, achetée pour l'occasion, au lieu de me dire "bof ! tu sais je te préfères sans rien !"
Il aurait juste suffit que tu prennes le temps de réserver ce restau au lieu de déclarer, après nous être faits jeter "c'est pas grave, j'ai un plan B !"
Il aurait juste suffit qu'au lieu de dire "je suis nul, j'ai rien pour toi !" en ouvrant ton cadeau, tu aies un petit rien dans ta poche... même une cocotte en papier fabriquée de tes mains m'aurait comblée...
Il aurait juste suffit qu'au lieu de t'éterniser toute la soirée sur ton ex et vos démêlées, tu me dises "j'ai regardé les annonces d'appart pour nous"
Il aurait juste suffit qu'au lieu de répéter "je t'aime, je t'aime" tu allumes tes cigarettes avec le zippo que je t'avais offert (l'aurais-tu de nouveau perdu, comme les gants ?)
Il aurait juste suffit qu'au lieu de passer la soirée à me démontrer combien tu te sentais impuissant à bâtir notre avenir à deux, ne me dises que tu projetais ne serait-ce qu'un WE ensemble...


Il aurait juste suffit que cette phrase-ci ne soit jamais prononcée : "désolé de te dire ça, mais si justice ne m'est pas rendue, je me la rendrai moi-même..." (en enlevant tes enfants et en t'enfuyant à l'étranger - ndlr)

Tu as signé, par ces mots presque ordinaires dans ta bouche, l'arrêt de mort de notre amour.

Il aurait juste suffit que je sois une priorité dans ta vie, et que tu cherches à me faire juste un peu plaisir...

Il aurait juste suffit que tu comprennes tout cela tout seul, au lieu de me dire "pourquoi t'es toute silencieuse ?"

C'est encore moi qui vais endosser le mauvais rôle, et tu seras de nouveau la victime... Alors qu'il aurait suffit de si peu de choses finalement... si peu...

samedi, 17 février 2007

Trop plein

Mal dormi et une évidence qui s'installe... il faut que j'arrête tout ça, que je le quitte pour de bon. Il me déçoit trop. Reconnaître qu'on est nul ne suffit pas. Me répéter "je t'aime" à l'infini non plus...

Marre des belles paroles et du zéro concret.

Mon horoscope du jour ?

On nourrit en cachette des sentiments pour vous et vous ne le voyez même pas. Pourtant on cherche discrètement à vous le faire savoir. Ouvrez bien grands les yeux, une aventure financière ne serait sans doute pas pour vous déplaire. Bon rapprochement en vue.

Haha ! Si seulement c'était vrai !... Il ne doit pas s'agir de lui en tout cas !

Pour l'heure : vive les vacances ! Je vais me laisser vivre et voir la suite...

mardi, 13 février 2007

Errances

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Pourquoi ce blues ? Trois petites notes d'amour noir qui se promènent dans ma tête, dans mon coeur. Un truc qui me retient juste en arrière, des bras qui m'empêchent de tomber.

Je voudrais le chasser de ma tête et de mes rêves
Je voudrais qu'il n'ait jamais existé.

Je ne croyais plus à l'amour quand je l'ai rencontré
Et il a mis le temps qu'il fallait, juste le temps
Pour me prouver que je me trompais,
Que l'amour existait
Et qu'il lui ressemblait

Je l'aime mais je le hais
D'être tout à coup si laid
Si bête, si commun...

Je lui en veux de m'avoir fait croire en des rêves
Des chimères, des illusions

Tout revient à sa source.
L'amour  est illusion
Mensonges à soi-même
Mensonges à l'autre

On se croit invincible mais on ne l'est pas
On est même tout l'inverse :
Offert sans condition
Aux dents et aux griffes de l'autre

L'amour ça fait vraiment trop mal

 

Mais l'amour, tu peux tout le garder,
Un soir je te l'avais donné
Et reprendre c'est voler
Oui reprendre c'est voler...

(JJ Goldman)

mercredi, 07 février 2007

Question de chance ?

Je disais il y a quelques jours que la chance arrivent à ceux qui la méritent et une nouvelle fois, ce principe s'avère vrai...

Ma semaine a débuté par un accrochage avec... le camion des éboueurs. Ils étaient situés du mauvais côté de la route, j'ai pensé que " ça passait ". En fait, il manquait quelques centimètres pour que ça passe. Mon rétro droit étant collé à une poubelle, j'ai stoppé pour rentrer celui de gauche, pensant ainsi gagner la place qu'il me manquait pour passer. Mais au moment de rabattre mon rétro voilà que le camion bouge, à l'instant où je me disais " toi pas bouger, non : pas bouger !" et là j'ai vu mon rétroviseur s'écrabouiller à petit feu...

Coincée dans ma voiture, le conducteur sort de son camion et... m'enguirlande ! "z'êtes malade vous de vouloir forcer comme ça !". Ouh là... Fallait surtout pas dire ça. S'il y a bien une chose que je ne supporte pas c'est l'injustice et le mensonge. Je me suis garée et l'engueulade a continué. Ils étaient 3 et moi seule avec mes deux puces. Je ne faisais pas le poids forcément. J'ai donc décidé de la jouer façon place Tien An Men : je me suis mise devant le camion en écartant les bras (vérité vraie : david contre Goliath) en criant "on fait un constat ! on fait un constat !"

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Que nenni. J'ai noté l'immatriculation et je les ai suivi en les incendiant "c'est pas correct ce que vous faites, vous le savez très bien !" mais autant parler... à une poubelle.

Bien évidemment dans ces cas-là, l'assurance prend TOUT en charge... sauf la franchise. Celle-ci étant plus élevée que les réparations, j'ai fait le deuil de mon rétro

Amen.

Super lundi, la semaine démarre en fanfare...

Le coup de rage passé, j'ai décidé de ne pas me laisser faire et j'ai été voir les flics, la mairie et finalement l'entreprise responsable. Ils m'ont rappelée aujourd'hui. Quand ils ont compris la situation et que les torts étaient pour eux à 100 %, ils ont cherché l'arrangement, que j'ai accepté. Ils prendront donc les réparations à leur charge et paieront la facture.

Et la chance dans tout ça ? Et bien c'est simplement que justement, ce rétro-là je l'avais cogné en me garant et qu'il était déjà abîmé avant.

La chance sourit à ceux qui la méritent...

... Pour cette fois !

dimanche, 04 février 2007

[Aparté]

On a la chance que l'on se donne, celle que l'on mérite aussi... En est-il de même du bonheur ? C'est ce qui tourne dans ma tête ces derniers temps. Etre heureux, c'est quoi ? Ai-je la vie dont je rêvais enfant ? Ne peut-on prétendre aspirer à mieux que ce que l'on a ? Et dans ce cas, c'est la spirale du toujours plus. Un état de perpétuelle insatisfaction, quels que soient les choix que l'on fasse, les décisions que l'on prenne, et qui visent toujours à un peu plus de bonheur... et que l'on ne peut jamais tout à fait atteindre.

Alors retour à la case départ : finalement de quoi est-on maître dans nos vies ? De soi, presque exclusivement. Le reste c'est la loterie. On ne choisit pas ses parents, sa famille, ses enfants. On compose avec. Parfois avec réussite, d'autres fois avec des constats d'échec.

Là où j'en suis, je ne cesse de me questionner sur ce que je mérite de vivre. Peut-être suis-je destinée à cette vie banale et parfois (trop) lourde à porter et que je n'ai pas 100% la main dessus. Peut-être qu'être adulte c'est juste accepter que la vie soit juste normale, banale, commune, lisse, plate et sans envergure.

Alors pourquoi aspirai-je à mieux, étant enfant ?

Je rêvais juste d'une vie que je choisirais. Pas que je subirais.

Mais c'est hors-normes ça.

vendredi, 02 février 2007

2 ou 3 choses

  • LAMCC, Broadcom et Cisco, membres de l'IEE, proposent d'améliorer la gestion d'énergie des réseaux hauts débits, par exemple en automatisant leur débit : un lien 10gigabit/s pourrait descendre automatiquement à 1gigabit/s ou 100Mbit/s en cas d'affaiblissement du flot de données à transmettre sans nécessiter un coût important de reconception de l'architecture. Economie visée : 450 millions de dollars sur la facture énergétique annuelle des Etats-Unis.

 

  • En retard mais c'est important, surtout après avoir vu ce film

 

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Il y a urgence